ADWD 48 – Tyrion X

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    Yfos
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    ADWD 48 – Tyrion X
    Au fil des pages – liste des sujets

    ADWD 47, Un fantôme à Winterfell ADWD 49, Jaime I

    Dans ce chapitre, Tyrion arrive enfin à la baie des Serfs mais pas comme prévu

    La vente aux enchères

    Jorah Mormont avait bien vu dans le chapitre précédent ; le navire s’approchant de leur épave était esclavagiste et Tyrion parvient à Meereen comme marchandise, prêt à être vendu comme esclave sur le marché. Il fait partie d’un lot composé également de Sol, Croque le chien et Jolie Cochonne la Truie.

    On apprend que Tyrion, Sol et Jorah sont les seuls à être dans une situation problématique. Les marins étaient déjà esclaves

    Pour eux, il ne s’agissait que de changer de propriétaire

    Reste à savoir si c’est exact : selon ledit propriétaire, leur situation peut empirer. Tyrion, lui-même, craint plus de devenir esclave de Yezzan zo Qazzak que d’autres enchérisseurs.

    Les officiers, libres, avaient pris une assurance et la veuve du front de quai s’était engagée à acquitter leur rançon. A priori, contrairement à d’autres (notamment un homme de Braavos), elle est fiable.

    Un temple de R’hllor devrait normalement racheter les trois doigts ardents de Moqorro, déjà esclaves comme le montrait les flammes tatouées sur leurs joues.

    Le début des enchères commence avec leur mise à prix, qui rappelle celle qui hante la mémoire de Melisandre.

    Le vendeur la rend encore plus glauque :

    « Enchantez les invités de votre prochain banquet ou employez-les pour une folie »

    Une folie, c’est bien les opposer à des fauves ou autres adversaires plus dangereux puisqu’il semble distinguer cela d’un combat entre eux?

    « la femme est jeune. Vous pourriez les accoupler, tirer des petits un beau revenu »

    Ils sont vendus un très bon prix, notamment parce qu’un des enchérisseurs a reconnu Tyrion et parce qu’un autre, immensément riche, collectionne les « monstres ». Même s’il exagère le montant, Tyrion le note ironiquement

    « Mon père disait toujours qu’un Lannister valait dix fois plus que n’importe quel homme ordinaire »

    Tyrion, à l’issue de la vente, évolue en mieux. Il se préoccupe des autres, réconforte Sol, lui disant

    « Nous sommes trop précieux pour qu’il nous maltraite »

    alors qu’il n’en croit rien

    Disant au sujet du collier, en toc, au sujet duquel Sol a fondu en larmes

    « C’est de l’or massif. À Westeros, des dames de haute naissance rêvent d’un tel collier »

    Et, surtout, sauvant provisoirement Jorah Mormont en prétendant qu’il fait partie du spectacle alors que celui-ci va être vendu à une femme cherchant des victimes pour l’arène.

    Les enchérisseurs

    On en connaît certains, déjà croisés, notamment grâce à Quentyn Martell :

    – la baleine jaune, Yezzan zo Qazzak, celui qui a remporté l’enchère.

    Nourrice, son factotum, le présente comme

    « érudit et guerrier, révéré au sein des Judicieux de Yunkai »

    Pour Douceur, son esclave androgyne

    « il a les yeux jaunes et il pue. Il y a dix ans, il est allé à Sothoros et depuis lors, il pourrit de l’intérieur. Faites-lui oublier qu’il se meurt et il peut se montrer généreux. Ne lui refusez rien »

    La dernière phrase est inquiétante. Ne rien refuser à son maître est la règle pour un esclave. Le fait que Douceur juge nécessaire de le préciser est inquiétant.

    Dans le chapitre l’Erre au vent, il est présenté comme l’homme le plus riche de Yunkaï.

     

    – la jeune femme sur un pavois. Peut-être la Générale, présentée dans le chapitre l’Erre au Vent. Mais, dans ce cas, pourquoi veut-elle des nains, elle qui ne s’intéresse qu’aux esclaves guerriers ?

     

    – la vieillarde, Zahrina, inconnue, que Nourrice présentera : elle veut des combattants pour l’arène

    « combattants bon marché. Viande pour héros »

    De façon plus claire : elle voulait acheter Tyrion et Sol pour les envoyer affronter dans l’arène beaucoup plus forts qu’eux. Dans le camp alors, ou de retour chez elle. Parce que Daenerys n’a accepté de rouvrir les arènes qu’à condition que les combattants soient volontaires. Ce pacte va bien sûr être respecté, non ?

    Ses enchères sont élevées pour une femme essayant d’avoir des esclaves le moins cher possible. Comme le dira Hizdahr, voir les nains essayer vainement de se défendre contre des fauves sera hilarant pour certains mais cela vaut-il une telle dépense ? Elle ne paraît pas non plus de mèche avec celui qui dirige les enchère que son comportement énerve.

     

    – Brun Ben Prünh. Lui c’est certain, a compris qui est Tyrion et n’enchérit que pour cela. À quelle reine veut-il le livrer, on ne sait pas.

    Il ne joue pas pour gagner, comprit Tyrion. Il joue pour ne pas perdre.

    Son projet est peut-être de le remettre à Daenerys s’il soit changer de camp, sinon, de le ramener à Cersei.

    Tyrion ne lui fait aucune confiance

     Ces sourires ne montaient jamais jusqu’aux yeux de Prünh où la cupidité se cachait derrière un voile de prudence 

    Plus jeune, Daenerys a été plus naïve avec le mercenaire.

    Les esclaves et les trésors

    Durant leur trajet vers le camp de leur maître, Tyrion et Sol croisent plusieurs esclaves.

    On voit le sort qui attend ceux qui désobéissent et essaient de s’évader.

    Tyrion y réfléchit pourtant mais craint que Sol ne veuille emmener chien et cochon ce qui compliquerait la tentative. Confronté à l’adversité, il comprend peut-être mieux pourquoi le père de Sol et Liard les a éduqués ainsi, « bien dressée pour votre divertissement » mais il fait de son mieux pour résister, continuant à l’ouvrir un peu trop et réfléchissant à une évasion.

    On croise également les « Lords de la Sonnaille », ces esclaves soldats enchaînés les uns aux autres. Ils n’ont pas dû affronter d’ennemis puisqu’ils sont encore vivants.

    Beaucoup ont encore confiance dans le fait que Daenerys va les sauver et refusent d’admettre qu’elle a accepté d’épouser Hizdhar, un esclavagiste. On voir leur désespoir quant à cette nouvelle mais le lecteur connaît les conditions qui l’ont obligée à céder.

    Mormont, lui aussi, est désespéré mais, selon Tyrion uniquement parce qu’elle s’est mariée

    « Toute envie de lutter l’a quitté au moment où il a appris que sa reine était marié »

    « le pauvre diable était revenu trop tard »

    Sérieusement ? Il ne sait pas ce que « non » veut dire ?

    On le savait déjà, la baleine jaune collectionne « les grotesques » ses trésors.

    On comprend mieux pourquoi il a acheté Sol et Tyrion, à défaut de trouver un nouveau géant.

    Parmi eux, deux me semblent plus intéressants :

    – la fille à deux têtes de Mantarys, qui ressemble en cela à Maelys Feunoyr mais il paraît que la ville a la réputation d’être peuplée de monstres.

    – Douceur, bien sûr. Il a les yeux violets et parle couramment quatre langues dont le haut valyrien. Un peu étonnant pour un esclave. Missandei également en parle de nombreuses mais elle a été élevée pour être interprète. Il existe même une théorie à son sujet. Bon, elle a été publiée un 1er avril, sa fiabilité est sujette à caution.

    Nourrice, le factotum demande à ce que les esclaves le considèrent comme

    « la nourrice qui s’occupaient de vous lorsque vous étiez enfants »

    et explique que

    « À Yunkaï vous … dînerez dans de la vaisselle d’argent »

    Cela me rappelle ce qui était dit de Drogo. Là, on ne vérifiera pas que c’est faux.

    Selon Douceur,

    « c’est le seul véritable monstre, ici »

    Après leur arrivée dans les quartiers de leur maître

    Ils n’eurent que l’après-midi pour apprendre la vie des biens matériels 

    Comme ils sont baignés, que

    on coupa les cheveux de Sol, et on tailla la barbe de Tyrion. On leur donna des babouches souples et des vêtements neufs, simples mais propres 

    et que les marques de coups de fouet de Tyrion sont de plus soignées, je ne suis pas certaine que ce soit très représentatif de cette vie.

    Le banquet

    Le soir même, Yezzan zo Qazzak invite plusieurs personnalités à un banquet, notamment le général en chef et deux capitaines mercenaires : Brun Ben Prünh et le Prince en Guenilles.

    On aura aucune idée des échanges, un peu frustrant, même si vu le grand nombre de personnes présentes, aucun secret n’a dû être échangé à haute voix.

    On constate que Prünh essaie toujours de récupérer Tyrion. Durant le banquet, la baleine jaune a un échange avec le général en chef, a priori au sujet de ses nains. Au vu de sa réaction, de la déclaration de Nourrice

    « Et, oh, que nous allons rire »

    C’est visiblement à ce moment qu’il est décidé de la Folie : lâcher les lions sur Sol et Tyrion à l’issue de leur parodie de joute.

    Dès ce moment, tout le monde sait que les désirs de Daenerys au sujet de l’abolition de l’esclavage à Meereen ne seront pas respectés longtemps et que cela va commencer par le rétablissement de l’envoi à la mort d’esclaves étrangers à la ville dans ses arènes.

     

    J’ai une interrogation : pourquoi Tyrion pense que Yezzan boit du citron et non une autre boisson durant la vente aux enchères ? Ils font partie du complot des citronniers ?

    • Ce sujet a été modifié le il y a 5 mois et 3 semaines par Yfos. Raison: mise en forme
    #204085
    R.Graymarch
    • Barral
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    (oh non c’est Tyrion^^)

    On avait laissé le nain en fâcheuse posture puisque le bateau approchant était composé d’esclavagistes. L’auteur nous épargne le reste et on arrive directement à la vente d’esclaves, à proximité de Meereen

    Gros lot dès le début : deux nains et leurs montures

    Des marins ont déjà été vendus et souvent changé d’allégeance facilement

    he slave sailors off the Selaesori Qhoran, sold singly, had gone for prices ranging from five hundred to nine hundred pieces of silver. Seasoned seamen were a valuable commodity. None had put up any sort of fight when the slav ers boarded their crippled cog. For them this was just a change of owner. The ship’s mates had been free men, but the widow of the waterfront had written them a binder, promising to stand their ransom in such a case as this. The three surviving fiery fingers had not been sold yet, but they were chattels of the Lord of Light and could count on being bought back by some red temple. The flames tattooed upon their faces were their binders.

    Tyrion observe et reste silencieux (pendant la très longue vente aux enchères)

    “I’m glad they are keeping us together,” Penny whispered.

    The slave trader shot them a look. “No talk.”

    Tyrion gave Penny’s shoulder a squeeze. Strands of hair, pale blond and black, clung to his brow, the rags of his tunic to his back. Some of that was sweat, some dried blood. He had not been so foolish as to fight the slavers, as Jorah Mormont had, but that did not mean he had escaped punishment. In his case it was his mouth that earned him lashes.

    OK il ne reste pas silencieux très longtemps (il parle en haut-valyrien ?)

     “His eyes don’t match neither. An ill-favored thing.”

    “My lady hasn’t seen my best part yet.” Tyrion grabbed his crotch, in case she missed his meaning.

    The hag hissed in outrage, and Tyrion got a lick of the whip across his back, a stinging cut that drove him to his knees. The taste of blood filled his mouth. He grinned and spat.

    Tyrion remarque qu’on l’a sans doute reconnu, et donc il fait monter les enchères (?) ou montre qu’il a bien compris

    Tyrion gave her a lascivious grin. “A clever slave deserves a clever master, and you lot all look like fools.”

    That provoked more laughter from the bidders, and a scowl from the auctioneer, who was fingering his whip indecisively as he tried to puzzle out whether this would work to his benefit.

    “Five thousand is an insult!” Tyrion called out. “I joust, I sing, I say amusing things. I’ll fuck your wife and make her scream. Or your enemy’s wife if you prefer, what better way to shame him? I’m murder with a cross-bow, and men three times my size quail and tremble when we meet across a cyvasse table. I have even been known to cook from time to time. I bid ten thousand silvers for myself! I’m good for it, I am, I am. My father told me I must always pay my debts.”

    The sellsword in the purple cloak turned back. His eyes met Tyrion’s across the rows of other bidders, and he smiled.

    Tyrion ajoute une moquerie et hop un coup de fouet en plus (toi et ta grande gueule, Tyrion). Le lot est adjugé finalement pour 5000 si je ne me trompe pas

    Ensuite c’est au tour d’une jeune fille de 15-16 ans qui est mise à nu (quelle élégance…). Tyrion regarde Meereen au loin (si loin, si proche) et rassure Sol

    “It won’t be so terrible, will it?” Penny whispered. “He paid so much for us. He’ll be kind, won’t he?”

    So long as we amuse him. “We’re too valuable to mistreat,” he reassured her, with blood still trickling down his back from those last two lashes. When our show grows stale, however … and it does, it does grow stale …

    Nourrice (nouveau venu) briefe les nouveaux esclaves (Sol et Yollo) de manière paternaliste. Mais un nouveau lot arrive et c’est Jorah qui a bien morflé

    The knight was naked but for a breechclout, his back raw from the whip, his face so swollen as to be almost unrecognizable. Chains bound his wrists and ankles. (…)

    Even in chains, Mormont looked dangerous, a hulking brute with big, thick arms and sloped shoulders. All that coarse dark hair on his chest made him look more beast than man. Both his eyes were blackened, two dark pits in that grotesquely swollen face. Upon one cheek he bore a brand: a demon’s mask.

    When the slavers had swarmed aboard the Selaesori Qhoran, Ser Jorah had met them with longsword in hand, slaying three before they overwhelmed him. Their shipmates would gladly have killed him, but the captain forbade it; a fighter was always worth good silver. So Mormont had been chained to an oar, beaten within an inch of his life, starved, and branded.

    Personne n’en veut et le prix baisse. Jorah est absent depuis qu’il sait que Daenerys s’est mariée. On note que Tyrion envisage le suicide pour lui (et Sol) comme délivrance

     Daenerys Targaryen was wed, the guards on the pens had told them, laughing. She had taken a Meereenese slaver as her king, as wealthy as he was noble, and when the peace was signed and sealed the fighting pits of Meereen would open once again. Other slaves insisted that the guards were lying, that Daenerys Targaryen would never make peace with slavers. Mhysa, they called her. Someone told him that meant Mother. Soon the silver queen would come forth from her city, smash the Yunkai’i, and break their chains, they whispered to one another.

    And then she’ll bake us all a lemon pie and kiss our widdle wounds and make them better, the dwarf thought. He had no faith in royal rescues. If need be, he would see to their deliverance himself. The mushrooms jammed into the toe of his boot should be sufficient for both him and Penny. Crunch and Pretty Pig would need to fend for themselves.

    (oh tiens coucou, on voit Zahrina)

    Et là un peu comme Jaime qui revient sauver Brienne, on a Tyrion qui va sauver Jorah, sans savoir vraiment pourquoi

    He was no friend to me. Yet Tyrion Lannister found himself turning to Nurse and saying, “You cannot let her have him.”

    Nurse squinted at him. “What is this noise you make?”

    Tyrion pointed. “That one is part of our show. The bear and the maiden fair. Jorah is the bear, Penny is the maiden, I am the brave knight who rescues her. I dance about and hit him in the balls. Very funny.”

    The overseer squinted at the auction block. “Him?” The bidding for Jorah Mormont had reached two hundred silvers.

    “And one,” said the crone in the violet tokar. “Your bear. I see.” Nurse went scuttling off through the crowd, bent over the huge yellow Yunkishman in his litter, whispered in his ear. His master nodded, chins wobbling, then raised his fan. “Three hundred,” he called out in a wheezy voice.

    The crone sniffed and turned away. “Why did you do that?” Penny asked, in the Common Tongue.

    A fair question, thought Tyrion. Why did I? “Your show was growing dull. Every mummer needs a dancing bear.”

    Mais le résultat est là, Jorah est acheté

    The knight did not struggle. All the fight went out of him when he heard that his queen had wed, Tyrion realized. One whispered word had done what fists and whips and clubs could not; it had broken him. I should have let the crone have him. He’s going to be as useful as nipples on a breastplate.

    Petite marche jusqu’au campement du nouveau propriétaire, Tyrion observe tout : les maltraitances des esclaves, les engins de siège, les différentes bannières, l’entrainement de frondeurs (Tyrion pensait que cela ne valait pas un arc, sweet summer child)

    Arrivés à destination, Jorah est mis de côté, les deux autres ont un collier d’esclaves

    Better a collar than a brand. A collar can be removed. He remembered Shae, and the way the golden chain had glimmered as he twisted it tighter and tighter about her throat.

    Arrive Douceur et la source d’un très bon article. Douceur donne de bons conseils et on voit la galerie de personnages digne de Freaks

    “You will want to be careful with Nurse,” said Sweets when the overseer had departed. “He is the only true monster here.” The bearded woman spoke an incomprehensible variety of Ghiscari, the goat boy some guttural sailor’s pidgin called the trade talk. The two-headed girl was feeble-minded; one head was no bigger than an orange and did not speak at all, the other had filed teeth and was like to growl at anyone who came too close to her cage. But Sweets was fluent in four tongues, one of them High Valyrian.

    Le nouveau maître a l’air spécial

    “His eyes are yellow, and he stinks,” said Sweets. “Ten years ago he went to Sothoros, and he has been rotting from the inside out ever since. Make him forget that he is dying, even for a little while, and he can be most generous. Deny him nothing.”

    Les deux nains sont lavés car ce soir ils font leur spectacle devant des nobles ou militaires (dont Prünh qu’on revoit ici après la vente aux enchères). Puis Tyrion gagne de nombreuses fois au cyvosse (et remplume les finances de son maître). Ils ont dû faire bonne impression car grand honneur, ils vont pouvoir se montrer aux arènes de Meereen qui viennent de rouvrir !!

    Chapitre un peu long, mais pour Tyrion on a eu pire. Et là il est enfin arrivé à Meereen mais encore si loin de Daenerys…

    Je sers la Garde et c'est ma joie. For this night, and all the nights to come
    MJ de Chanson d'Encre et de Sang (2013-2020) et de parties en ligne de jeu de rôle
    MJ par intérim de Les Prétendants d'Harrenhal (2024-), rejoignez-nous
    DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais

    #205299
    Tybalt Ouestrelin
    • Pas Trouillard
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    Un chapitre un peu long mais où je trouve qu’on redécouvre le Tyrion qu’on apprécie, celui qui est si populaire auprès des lecteurs, soucieux des autres (Jon autrefois, Sol et même Jorah désormais). Il est déjà loin le Tyrion qui se soulait toute la journée auprès d’Illyrio.

    Pour moi, à l’instar d’un Jaime, c’est le début de la rédemption ici (jusqu’à la prochaine déchéance).

    DOH 8&10 : Tybalt Ouestrelin, acolyte loyaliste devenu Mestre ; Or, Argent et Bronze.
    DOH 9 : Lazzara zo Ghazîn, Grâce Bleue devenue Sénéchale. Miraculée devenue Conseillère. Pas Miraculée deux fois.

    #206407
    Geo Frey
    • Éplucheur de Navets
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    Tyrion subissait une longue déchéance depuis le tome 2 : main du roi (remplaçant), rétrogradé, accusé, fuyard, exilé méprisé par Griff, prisonnier de Jorah, naufragé ; pour finir au plus bas, esclave.

    À part mourir, il ne peut donc pas descendre plus bas. Et ce chapitre semble être celui à partir duquel il va de nouveau être l’acteur principal de son histoire.

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