[Auteur] Arthur C. Clarke

  • Ce sujet contient 9 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Lapin rouge, le il y a 2 heures et 2 minutes.
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    DNDM
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    Un sujet pour Arthur C. Clarke et ses livres, qui en tant qu’auteur classique de la science-fiction, le mérite bien.

     

    DNDM (dans le sujet sur les Prix Hugo):

    J’ai lu plusieurs des nouvelles courtes qui ont eu un prix Hugo. Du coup je commence une liste de critiques.

    (…)

    • 1956, Arthur C. Clarke, « The Star »

    Un vaisseau explorateur a été pour la première fois jusqu’à la nébuleuse du Phoenix. L’astrophysicien du bord, également jésuite, est en déprime totale. Pourquoi ? À cause de ce qu’ils ont découvert là-bas.

    Une belle, cruelle et triste nouvelle sur le thème « La Science Vs La Foi ». Courte et efficace, aussi. Ma préférée pour l’instant, avec des Fleurs pour Algernon.

     

    DNDM

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    Les fontaines du Paradis, Arthur C.Clarke.

    Prix Nebula du meilleur roman 1979, prix Hugo du meilleur roman 1980.

    Livre que j’ai adoré sur certains passages, et qui m’a fait grandement bailler sur d’autres.

    Pitch principal: un ingénieur génial propose de construire le premier ascenseur spatial. Problème: le seul endroit sur Terre où il est possible de l’implanter est occupé par un monastère bouddhiste.

    Pitch secondaire: une sonde spatiale extraterrestre passe par le système solaire, et pour la première fois les humains dialoguent avec un objet construit par des extraterrestres, ce qui chamboule leur vision du monde, notamment au niveau religieux.

    Bon, ça c’est pour la quatrième de couverture. Et si Clarke avait été un peu plus romancier et un peu moins technique, il aurait en effet pu faire un splendide roman sur l’opposition science/foi et tout ce qui va avec.

    Y’a plein de bonnes idées dans ce roman. La mise en parallèle entre la construction de l’ascenseur spatial sur le lieu où un roi mégalo avait fait construire un palais impossible pour l’époque, par ex. Sauf que c’est très mal exploité. La lutte entre les moines et les scientifiques pour la possession du lieu, aussi. Mais pareil, pas assez exploité, ça se résout quasi sans intervention extérieure.

    Y’a des décors somptueux, genre le monastère bouddhiste posé sur la fictive île de Taprobane, très inspiré du splendide Rocher du Lion au Sri Lanka. Mais si je n’avais pas vu cette vidéo y’a quelques temps, je n’aurais pas forcément trouvé ça aussi somptueux.

    Y’a des persos très sympas, y compris les persos secondaires: un ingénieur génial et visionnaire, un ancien savant de renommée internationale devenu moine bouddhiste, une journaliste rentre-dedans… Mais ils sont sous-exploités.

    Y’a des passages d’anthologies, comme les faux extraits de discours et de cours sur la religion, ou les discussions entre la sonde et les humains. C’est peut-être ce que j’ai préféré. Mais là encore, alors qu’il y avait sans problème moyen de raccrocher ça à l’intrigue principale, là les deux se côtoient sans vraiment échanger.

    Du coup, ça donne un livre étrange, en quatre parties un peu bancales, qui ressemble plus parfois à un collage de nouvelles et d’idées disparates. Un genre de pot-pourris de superbes idées, avec des passages grandioses, et d’autres dont on se fout royalement, avec des morceaux de pure discours théorique sans personnages, et d’autres où l’on suit les pérégrinations d’un perso mais sans vraiment s’y intéresser…

    SF des années 70-80, quoi, où le vertige des idées suffisait à remplir un bouquin, sans avoir besoin de vraiment développer les personnages ou les intrigues.

    Bref. Beaucoup aimé la sonde extraterrestre et tout ce qui va avec (mais c’est quasi un bouquin dans le bouquin), beaucoup aimé le potentiel de plein de choses, mais pas accroché par les persos, et déçu par la mise en place et la résolution des intrigues faiblardes.

     

    DNDM: 

    Rendez-vous avec Rama, d’Artur C. Clarke, encore.

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    Prix Hugo 1974, mais aussi Nebula Award for Best Novel 1973, British Science Fiction Association Award 1973, Jupiter Award for Best Novel 1974, John W. Campbell Memorial Award 1974, Locus Award for Best Novel 1974, Seiun Award for Best Foreign Language Novel 1980.

    J’ai adoré. Terminé en deux soirées.

    Ceux qui lisent les avis littéraires que je laisse ici ou là l’ont peut-être remarqué, je suis assez difficile dans mes lectures, ces derniers temps. Mais là, franchement, j’ai adoré. Si je cherche des « défauts », j’en trouverai ; personnages un peu plats, notamment. Mais c’est pas ce qui est important ici.

    Ce livre repose à 100% sur ce que le petit monde de la SF appel le « Sense of Wonder ». Et là, ce bouquin est bourré de Sense of Wonder, et vous happe sans vous lâcher, vous fascine sans discontinuer du début à la fin.

    Pitch: 2131, les humains ont commencé à coloniser le système solaire. Un astéroïde inconnu arrive d’ailleurs. Sauf qu’à l’observer de plus près, c’est pas un astéroïde, mais un vaisseau spatial en forme de cigare de 50 km de long. La plus proche navette est déroutée afin de voir ça de plus près. L’équipage arrive à pénétrer dedans, et commence à l’explorer.

    -> [Autre conversation sur Clarke par là, mais on va pas casser le sujet de base]

    Feygirl:

    Terre, planète impériale, de Arthur C. Clarke

    Quel ennui !

    Un titre qui claque, mais une narration poussive et un scénario truffé de défauts.

    Et pas d’Empire, malgré la promesse du titre.

    Au XXIIIe siècle, Duncan est un habitant de Titan, le satellite de Saturne. Son grand-père Malcom a fait fortune en exploitant l’hydrogène de l’atmosphère, car c’est un gaz nécessaire aux systèmes de propulsion de ce futur. Victime d’un accident, Malcolm ne pouvait plus avoir d’enfants en bonne santé et s’est fait cloner lors d’un séjour sur Terre pour faire naître son fils, Colin. Devenu adulte, Colin, ayant hérité des problèmes de son père, a dû aussi se faire cloner afin d’avoir Duncan, qui lui-même n’a d’autre solution que le clonage pour avoir un enfant. Et ici, le lecteur attentif tique : même si le grand-père Malcolm a eu un accident, le clone Colin avait un corps neuf sans séquelles, donc capable d’avoir un enfant sain. Oups. L’auteur reconnaît en postface avoir eu des réactions outrées de ses lecteurs face à cette grossière erreur.

    Ce n’est pas fini : Duncan a un caractère légèrement différent de son père Colin et son grand-père Malcolm, mais il fait les mêmes erreurs qu’eux… à cause de la génétique qui induit des comportements identiques. Malcolm sait ce que va penser Duncan, car ils raisonnent pareillement, à cause de la génétique.

    Arthur C. Clarke est peut-être un auteur reconnu de hard-science, mais il pipait que dalle en génétique !

    Passons au reste.

    Le premier quart du roman est une exposition de la vie sur Titan, de Duncan et de son entourage, mais il ne se passe pas grand-chose. Certes, l’auteur décrit le quotidien sur un satellite isolé, inhospitalier mais sur lequel (ou plutôt dans les profondeurs duquel) vit une communauté, en utilisant quelques connaissances scientifiques et extrapolations. Mais ça ne suffit pas à maintenir l’intérêt. Puis Duncan doit aller représenter Titan sur la Terre pour le 500e anniversaire de la Déclaration des États-Unis.

    Deuxième quart : le voyage vers la Terre. Oui, un quart du roman. À part une rapide description du système de propulsion, bah, toujours pas d’intrigue en vue. Un quart de roman pour un voyage où il ne se passe rien.

    Troisième quart : Duncan arrive sur Terre, s’adapte à la pesanteur, rencontre des officiels, et des personnes annexes, et le lecteur fait pffff, il ne se passe toujours rien… Et paf, Duncan se met à enquêter sur un vol de titanite (cristal rare de Titan). Enfin un début d’intrigue, même si le lecteur en comprend mal l’enjeu car ce cristal ne sert à rien. Divulgâchage : en fait, quand le lecteur aura la réponse, il comprendra que le vol de ce cristal n’était pas important. Ah bon.

    Quatrième quart : il se passe quelque chose !!! Quelque chose de grave ! Ah, enfin. Divulgâchage : eh bien, ce n’était qu’un accident qui n’aura pas de conséquence.

    Et la conclusion de tous ces rebondissements : un super projet du tonnerre. Oui, cher lecteur ! Magnifique pour la connaissance de l’univers ! Une avancée pour la science. Mais ça n’a aucun rapport avec tout ce qui vient de précéder. C’est ballot.

    Alors, certes, Arthur C. Clarke est solide sur le plan de la hard-SF : la description de Titan et la vie de ses colons, les adaptations à la gravité, le mode de propulsion des vaisseaux naviguant dans le système solaire, et le projet exposé à la fin du roman. Il a aussi anticipé internet (il n’est pas le seul écrivain à l’avoir fait), et il a imaginé une Terre du futur réconciliée avec l’environnement (en passant très vite sur le sujet). Cependant, ces éléments forment moins de 5 % du roman, et le reste est décevant. Il n’a pas construit d’histoire ; j’ai eu l’impression qu’il avait ses inspirations hard-SF, et qu’il a essayé de les relier dans un récit. Ça ne fonctionne pas. Pire, la narration est le plus souvent plate.

    Bonus : le personnage qui s’avère le plus important n’est pas Duncan, qui est creux et ne sert qu’à mettre en lumière un autre protagoniste, Karl. Ce Karl qu’on voit très peu, au demeurant. Encore un problème de construction du roman.

    Bonus bis : les clones naissent par mère porteuse. Si le concept vous met mal à l’aise, l’auteur va plus loin. Les mères porteuses de la Terre du futur sont des handicapées mentales car celles-ci, c’est bien connu, ne forment pas d’attachement et se laissent prendre leur bébé en gardant le sourire. Notre « héros » Duncan assiste à une danse de mères porteuses parquées sur une île paradisiaque, elles sont heureuses de leur situation, Duncan est ému… Le lecteur beaucoup moins.

    Note à moi-même : se contenter des œuvres les plus connues de l’auteur.

     

     

    Feygirl:

    Rendez-vous avec Rama, d’Arthur C. Clarke

    Genre : Science-Fiction.

    Première édition : 1975 en VF (Rendez-vous with Rama, 1973 en VO).

    Arthur C. Clarke à son meilleur niveau !

    2130 : l’humanité a colonisé plusieurs planètes de notre système solaire. Les astronomes repèrent près de Jupiter un astéroïde qui a une trajectoire différente des autres : il va s’approcher du soleil puis continuer son chemin plus loin dans la galaxie. Il est baptisé du nom du dieu hindou Rama, puisque les mythologies occidentales sont épuisées depuis longtemps. Quand Rama est plus près de la Terre, les scientifiques stupéfaits s’aperçoivent que c’est un cylindre parfait, de 20 km de diamètre sur 50 km de long. Un objet artificiel gigantesque.

    L’humanité découvre qu’elle n’est pas seule dans l’univers, et que pendant quelques jours elle pourra observer un appareil âgé d’au minimum 200 000 ans, si on se fie à sa trajectoire et à la dernière fois qu’il était près d’une étoile. Immédiatement, le vaisseau Endeavour — le seul qui soit dans les environs — est missionné pour aborder Rama. Son équipe arrive à pénétrer à l’intérieur, et entre dans un monde artificiel. Le temps presse : quand Rama sera tout près du soleil, l’Endeavour ne pourra pas supporter les températures, et ensuite Rama continuera son chemin très loin vers les étoiles.

    L’essentiel du roman est l’exploration du monde de Rama, un monde vide qui semble mort, sans vie. Cela n’empêche pas les humains de s’émerveiller devant les prouesses de ses constructeurs. Tout est plus énorme ou étrange que les productions humaines. Tout est objet à spéculation. Et toujours, une question lancinante : qui étaient les Raméens ? Quel était leur but ? Peut-on deviner leur technologie grâce à la configuration de Rama et ses aménagements ?

    Arthur C. Clarke a écrit ici un magnifique exemple de la hard-SF : Rama est imaginé selon des théories scientifiques, les hypothèses des spécialistes examinant les découvertes transmises par l’équipage sont basées sur des hypothèses réalistes ; et pourtant, c’est avant tout un roman d’aventures et de découvertes. Les personnages sont mus par l’envie de savoir et de comprendre, ils explorent et analysent, ils s’émerveillent des prouesses technologiques apparentes ou s’effraient d’ingénieries inconnues. Ils ont l’impression de rencontrer une civilisation bien plus avancée que la nôtre, en entrant dans une ruine d’un million d’années, mais une ruine qui semble avoir été construite hier, car tout est en parfait état, comme neuf. L’ensemble propose un sense of wonder de haute volée, basé uniquement sur la spéculation scientifique.

    Si le récit se concentre sur la découverte et l’exploration scientifiques, il faut admettre que les personnages sont accessoires et souvent réduits à une fonction, aussi bien l’équipe du Endeavour que les commissions diplomatiques ou scientifiques du système solaire. J’ai toutefois noté un soupçon de sexisme, particulièrement chez le commandant du Endeavour (personnage le plus développé), qui rappelle que ce roman a été publié en 1973. Cependant, ce n’est pas le cœur du récit.

    La lecture est rendue agréable par une plume très fluide et, de temps en temps, des piques d’humour bienvenues. Arthur C. Clarke va à l’essentiel, et il le dit bien.

    Rendez-vous avec Rama a reçu nombreux de prix, dont les prestigieux prix Hugo (à l’époque où il valait quelque chose), prix Nebula et prix Locus. Soit le grand chelem de la SF, et c’est bien mérité.

    Arthur C. Clarke a écrit 16 ans plus tard des suites, mais j’ignore si elles sont du même tonneau que les suites de 2001, l’Odyssée de l’espace (que j’ai abandonnées au milieu d’un des tomes, ce qui m’arrive rarement).

    Auteur de "Les mystères du Trône de Fer", tome I, co-auteur du tome 2: https://www.lagardedenuit.com/forums/sujets/les-mysteres-du-trone-de-fer-les-mots-sont-du-vent/ & https://www.lagardedenuit.com/forums/sujets/les-mysteres-du-trone-de-fer-2/
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    #207487
    DNDM
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    Rendez-vous avec Rama, d’Arthur C. Clarke

    Arthur C. Clarke à son meilleur niveau !

    Haaaa, je savais que ça te plairait!
    (Par contre tu spoils un peu la chute non?)

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    #207514
    FeyGirl
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    Rendez-vous avec Rama, d’Arthur C. Clarke Arthur C. Clarke à son meilleur niveau !

    Haaaa, je savais que ça te plairait! (Par contre tu spoils un peu la chute non?)

    À vrai dire, tout les commentaires sur ce roman précisent que c’est l’exploration de Rama… À part ça, tout ce que j’écris dans mon commentaire est présent dans le premier quart du roman C’est sûr que si on veut des retournements de situation incroyables, il vaut mieux lire autre chose.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 16 heures et 47 minutes par FeyGirl.
    #207517
    DNDM
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    @feygirl : c’est ces passages que je pense être spoiler, autant que je me souvienne la toute fin participe quand même pas mal au sens of wonder qui fait la force du bouquin.

    Spoiler:

    L’humanité découvre qu’elle n’est pas seule dans l’univers, et que pendant quelques jours elle pourra observer un appareil âgé d’au minimum 200 000 ans, si on se fie à sa trajectoire et à la dernière fois qu’il était près d’une étoile. Immédiatement, le vaisseau Endeavour — le seul qui soit dans les environs — est missionné pour aborder Rama. Son équipe arrive à pénétrer à l’intérieur, et entre dans un monde artificiel. Le temps presse : quand Rama sera tout près du soleil, l’Endeavour ne pourra pas supporter les températures, et ensuite Rama continuera son chemin très loin vers les étoiles.

    Dans mon souvenir les humains croient que le vaisseau à pour destination le système solaire, et se rendent compte à la fon que non, ils n’ont aucune importance. Je me trompe?

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    #207518
    FeyGirl
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    @dndm : ah non Les scientifiques découvrent très vite que Rama passera près du soleil puis quittera le système solaire et continuera son chemin, c’est pour cela qu’un équipage est envoyé dare-dare vers Rama avant qu’il ne soit trop tard. Justement, pendant toute l’expédition à l’intérieur de Rama, l’un des problèmes est qu’il y a un nombre limité de personnes, avec des moyens limités, et qu’ils ne peuvent pas aller partout dans le temps imparti.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 14 heures et 34 minutes par FeyGirl.
    #207522
    DNDM
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    Ma lecture date un peu. ^^

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    #207523
    Lapin rouge
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    Ma lecture date beaucoup, mais j’ai toujours en tête la dernière phrase, qui est restée toujours énigmatique pour moi (mais peut-être est-ce un souvenir reconstitué, et que la dernière phrase n’est pas du tout celle-là, et qu’elle n’a rien d’énigmatique…).

    Spoiler:
    Dans mon souvenir, la dernière phrase est un truc du genre « Chez les Raméens, tout allait toujours par trois ». Et je n’ai jamais compris ce que cela signifiait…
    They can keep their heaven. When I die, I’d sooner go to Middle Earth.
    #207532
    DNDM
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    @lapin-rouge:

    Dans mon souvenir c’est bien quelque chose du genre, mais qui s’explique facilement:

    Spoiler:
    Comme chez les Raméens, tout va pas trois, ça veut dire qu’ils ont plus que probablement envoyés 3 vaisseaux identiques, et que deux autres sont donc sur la même route et vont passer par le système solaire tôt ou tard, ce qui permettra aux terriens de les étudier.

    Il me semble d’ailleurs que c’est ce qui se passe dans les suites de ce livre (moins bonnes, si j’en crois les critiques).

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    #207534
    FeyGirl
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    @lapin-rouge : c’est ça :

    Spoiler:
    « Les Raméens font tout par trois. »

    J’en ai compris la même chose que @dndm

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 heures et 32 minutes par FeyGirl.
    #207537
    Lapin rouge
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    Merci à vous deux, voici une énigme vieille de 40 ans résolue !

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