The only light left burning, de Erik J Brown, suite (et fin) de All that’s left in the world, romance gay post-apo aux USA après qu’un virus ait tué pratiquement toute la population.
Ça reste choupi mais c’est quand même un peu en-dessous du premier tome. On assiste aux difficultés du couple de Jamie et Andrew, leurs projets de vie pas tout à fait alignés, leurs évolutions suite aux épreuves qu’ils ont traversées pas tout à fait parallèles. C’est intéressant mais je préférais leur phase pré-couple de recherche et de flirt 😄
Les personnages sont quand même super attachants, y compris pas mal de nouveaux persos secondaires ; les épreuves qu’ils traversent sont intenses, et la bienveillance finit quand même par régner, c’était quand même un plaisir même si moins mémorable/orignal que la découverte du premier tome 🙂