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R.Graymarch, le il y a 5 années et 3 mois.
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Et donc, comme promis
Partie Commune : refonder l’empire ghiscari
Lorsque le jeu commence, en 7996 (le jeu ne peut pas gérer les chiffres négatifs pour la date, donc il part de -8000 avant la Conquête), Valyria s’est effondrée. Au loin, on sait que les derniers dragons d’Aegon et ses femmes-épouses sont à Peyredragon. Mais dans la nouvelle Ghis, le roi Grazdhan II a l’ambition d’unifier toutes les terres de l’empire ghiscari. Un jour (et sans doute pas de son vivant car il a déjà 37 ans), cet empire renaîtra.
Stats moyennes, 4 enfants, pas mal d’armées. Et une possession seulement
Le royaume
L’objectif
Roi Ghazdan II (7996 – 8022)
La situation de départ est compliquée : Nouvelle Ghis, Astapor, Meereen et Yunkaï ont toutes plus ou moins le même nombre d’hommes dans leurs armées. Aucune revendication territoriale. Au nord-est, en dehors de l’empire de jure ghiscari, il y a bien Lhazosh. Avec 1000 de prestige, je pourrais vassaliser ce territoire. On n’en est pas là. J’envoie mon chancelier faire une revendication sur un de ces territoires pour espérer gagner un territoire de plus. En attendant, Ghazdan tente d’avoir des alliances via des fiançailles (avec Meereen ou Yunkai) mais cela marche moyen. Au max des pactes de non-agression. Qui sont annulés quand les dirigeants changent, bien entendu. Focus en militaire car ça peut servir. En 8007, Grazdan s’est amélioré.
En 8010, Astapor déclare la guerre au royaume !
Les ennemis oublient l’objectif de guerre et se rue vers ma capitale où je regroupe mes troupes. Le premier assaut est gagné (mange le malus lié au détroit).
Il s’ensuit un jeu de ping-pong entre les deux îles où les troupes ennemies sont réduites petit à petit
Bonus, l’héritier tue le chef ennemi.
Il est balaise, fiston !
Et il se fait capturer… ce qui donne -50 au score de guerre :/
Du coup, que faire ? Payer la rançon pour 74 pièces.
Du coup, j’ai 100 de score de guerre et la paix peut être faite, avec 452 or à la clef (la logique du truc…) en 8014
Pendant la guerre, le chancelier a pu fabriquer sa revendication. Du coup, vu que l’ennemi n’a quasiment aucun homme, déclaration de guerre en n’utilisant que les troupes vassales.
Fin 8015 (j’ai pris mon temps pour espérer piller des trésors, en vain), la guerre est gagnée. Grazdan usurpe le comté et le donne à son héritier.
Ensuite, on augmente un peu l’autorité de la couronne
Mi 8016, Grazdan se rend compte qu’un vassal a une revendication sur une province d’Astapor. C’est un bon moyen pour le grignoter.
Tout se passe bien. La nouvelle Ghis et ses alliés battent et assiègent l’objectif de guerre et la capitale. Prudent, Grazdan n’a pas accompagné ses troupes. Le score est à 99% mais la guerre manque de bataille ou de temps (moins de 36 mois) pour qu’on puisse terminer la guerre. Et là, Astapor débarque dans ma capitale. Ce n’est pas très grave, je pourrai gérer. Sauf que…
Le score passe à -100% (vous m’imaginez manger le bureau de rage ? Oui, c’était le cas :/ ), donc guerre perdue et capitulation de ma part. Et perte de la revendication, bien entendu. Je suis tout véner !!!
En plus, le Chancelier a crée une revendication sur Astapor (le comté). Sauf que je suis en trêve et n’ai plus de troupes (le taux de révolte à 180%, oups. Mais ça baisse rapidement ensuite). En 8022, il y a un nouveau dirigeant à Astapor, donc la trêve est finie ! Déclaration de guerre pour Astapor !!
Pas fou, le roi accompagne ses troupes cette fois. D’ailleurs, Astapor divise ses armées et vise la capitale de Nouvelle Ghis. Oui, mais…
RIP Grazdan !! Tu es mort au tout début du conflit.
Espérons que ton fils pourra faire mieux que toi.
Voici, @winterborn, comme prévu, je n’ai pas fait grand chose 😀 Je m’en veux pour cette guerre ratée, ça me bouffe ^^
Pendant ce temps là à Westeros
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ça a été rapide!
Avant tout, j’ai ça quand je lance le jeu…
J’espère que ça ne nous retombera pas dessus.
Je suis donc le roi Grazdan III de la Nouvelle Ghis. Les héritiers du grand empire Ghiscari. Contrairement aux potentats du nord, nous n’avons pas oubliés l’héritage de nos ancêtres. Dans nos veines coule le sang de Grazdan le Grand. Nous n’envoyons pas des légions d’esclaves se battre en notre nom, mais avons conservé la discipline militaire qui a vallu à Ghis d’être craint et connu partout dans le monde. Nous ne battons pas pour l’or, mais pour l’honneur. Pour que la gloire de notre peuple, traînée dans la boue par Valarya, soit de nouveau reconnue partout dans le monde. Pour que les Ghiscaris puissent de nouveau s’élever sur les ailes de la Harpie et voler jusqu’au firmament de l’honneur et du pouvoir.
Il aura fallu cinq guerres contre le feu des dragons de Valarya pour briser notre empire. Mais ce qui est brisé peut être reconstruit. Les dragons sont morts, jettés à terre par la furie divine, il est temps pour la harpie de reprendre son envol. Moi, Grazdan, en fait le serment. La guerre initiée par mon Père sera la première étape pour la reconstruction de notre empire.
Mon père me lègue des caisses pleines, une guerre en cours pour reprendre l’une des cités les plus prestigieuse de l’antique empire : Astapor et des terres prises aux faibles Lazaréens. J’entreprend, dans un premier temps, de vendre les escles inutiles de ma cours afin de remplir mes caisses. Puis je mène moi même le siège d’Astapor. Leurs bontés ont eu la stupide idée d’envoyer les terribles immaculés tenter de prendre le contrôle de ma capitale, mais je suis plus rapide. La cité tombe, puis tombe aussi la grande pyramide, bien avant que les fortifications de la nouvelle Ghis ne chutent.
Cependant, je ne tient que la cité, pas la grande pyramide, qui reste entre les mains de l’aristocratie Astaporie… Je décide simplement de laisser mes troupes se reformer quelque peu, puis je prend la tyrannique décision de chasser leurs bontés de leurs pyramides et de prendre le titre pour moi même. Le reste de mon royaume ne bouge pas face à cette rupture des liens féodaux. Erreur de leur part.
Car la prochaine étape va être de centraliser le plus de pouvoir possible entre mes mains. Je dispose d’Astapor et de la Nouvelle Ghis, les deux plus puissants domaines de mon royaume, mais je pourrais en administrer encore d’avantage moi même. Sans compter que les terres prises aux Lazaréens sont pauvres et peu développées. Je commence par la voie légale et pousse mes vassaux en plein complot à la rébellion pour pouvoir ensuite aisément récupérer leurs terres.
Cela ne fonctionne hélas pas toujours. Parfois, mon vassal et simplement emprisonné et, malgré un procès réussis, je ne peux pas révoquer son titre. Aussi, c’est un travail de longue halène que je mène face à mes vassaux les plus puissants. Mais très vite, je controle plus de terres que je ne peux en contrôler et commence à distribuer les titres les plus faibles à mes frères. J’en profite également pour arranger un beau mariage pour mon fils.
Cependant, malgré mes efforts, je ne peux m’emparer du domaine qui m’intéresse le plus, le riche domaine de Ghaen. Non seulement cela me permettrait de controler toute l’île, mais en plus j’aurais en ma possession propre l’un des domaine les plus puissant de mon royaume. Je fini donc par prendre ma seconde décision tyrannique et révoque ce titre sans raison valable. Sans raison valable? Bien sur que si, la renaissance du glorieux empire Ghiscari est une cause assez noble pour exiger cette entorse à la loi.
Mes vassaux ne bougent pas. Tant mieux pour eux, je suis désormais bien assez puissant pour tous les écraser d’un coup si nécessaire. A noter que, durant cette entreprise de centralisation, j’ai récupéré un domaine rempli d’esclaves que je m’empresse de transférer à ma capitale. Et comme je n’ai pas besoin de tant d’argent, je m’empresse d’en vendre afin de commercer l’étape suivante de mon grand projet…
L’Empire Ghiscari ne pourra être entièrement reformé si sa capitale, la glorieuse Ghis, n’est pas reconstruite. Calcinée par le feu des dragons, elle n’est plus que ruines et cendres. Mais je dispose des ressources et de la volonté nécessaire pour faire resurgir son nom et sa gloire du souffre et de la poussière. Je lance donc le processus de colonisation et de reconstruction de la ville. Une fois la plus glorieuse cité du monde de nouveau debout et siège du pouvoir de ma famille, la légitimité de ma dynastie à dominer l’empire ne fera plus aucun doute.
A noter que mon fils est désormais père lui aussi. A quatorze ans. Bien. La succession est assurée, mon fils lui même étant devenu un brillant commandant à la suite de mon éducation.
Un barde itinérant invité à ma cour m’apprend une nouvelle choquante. La Garde de Nuit, organisation prestigieuse connue jusque sur les rives de la baie des serfs, est tombée. Le Mur, l’une des merveilles du monde, est entre les mains d’un puissant roi du peuple libre alors que des survivants Valaryens, montés sur des dragons, ont entamés la conquête de Westeros et dominent désormais le Bief. Le monde change…
Mais j’ai autre chose à penser. Je consacre mes ressources à deux grands projets. D’un coté la recosntruction de ma future capitale, de l’autre j’envoie ma nouvelle épouse, diplomate exceptionnelle, fabriquer des revendications sur les terres encore possédés par Leurs Bontés d’Astapor. La ville est tombée, mais la campagne refuse encore de reconnaître mon autorité.
Cette exploration des ruines de l’antique Ghis me permettent de retrouver d’antiques manuscrits du culte de la Harpie, que je m’empresse de faire restaurer. Quelles merveilles!
Je me heurte à un problème cependant. Toutes ces revendications et suppressions de titre ont considérablement affaiblis mon prestige. Je suis vu par beaucoup comme un tyran à demi fou attaché au passé et dépensant ses biens et brisant les liens féodaux à la poursuite d’une chimère, d’une gloire depuis trop longtemps éteinte. Aussi, quand je veux révoquer le dernier compté qui m’intéresse, troisième plus riche du pays, je me retrouve face à un barrage. Je n’ai pas le prestige suffisant bien que disposant de toute la légitimité pour ce faire.
Mais si mes vassaux ne me soutiennent guère, le peuple lui, se rallie à moi. A Astapor, on commence à reprendre les anciennes habitudes Ghiscari. la culture de notre antique empire, qui perdurait dans la nouvelle Ghis, revient à la mode, preuve que la populace partage mon rêve de voir Ghis de nouveau unifié.
Afin de regagner le prestige perdu et de montrer à tous que mon rêne n’est pas que folie, je déclenche la guerre contre Leurs Bontés d’Astapor afin de récupérer les domaines revendiqués à l’aide de mon épouse. La guerre est rapide et facile et je m’empare d’une bonne moitié de ce qui restait du territoire des potentats décadents d’Astapor. Je nomme ensuite des individus compétents et loyaux à la tête des forts et châteaux récemment conquis… Mais je n’aurais guère le temps d’en profiter…
Victime d’un complot meurtrier, probablement orchestré par le félon Yarkaz de Sumbyar, dont je voulais m’emparer du titre, je suis tué d’une flèche en pleine tempe. Il reviendra à mon fils la difficile tache de conclure mon rêve et de rendre sa grandeur à l’Empire… Et vite, car sur l’autre contient, les descendants de Valarya sont en train de faire de même…
Voila le royaume que je te lègue, mon fils! A toi la couronne et le poids qu’elle représente. Venge moi en otant son titre à ce fourbe de Yarkaz de Sumbyar! Poursuit la conquête! Pour Ghis! Pour l’Empire!
"Ils me traquent avec des chiens, le jour, Et avec des torches me traquent, la nuit.
Car ils rampent, tout petits, au sol, Quand toujours les géants marchent dans la lumière.
Oooooooh, je suis le DERNIER des géants, Rappelez-vous bien ma chanson,
Car avec moi elle va s'éteindre, Et durer le long silence, long."Winterborn
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J’ai commencé la génération (j’ai avancé de 10 ans)
Et je ne résiste pas à vous demander de rendre hommage à Iona, sauvageonne de 2 ans et lady commandante de la Garde de Nuit (passée sous le contrôle du roi d’au delà du Mur)
Sinon, est ce que j’ai interféré avec les Targaryen ? Un petit peu, oui.
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