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Worgen Stone, le il y a 2 années et 4 mois.
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Ser Aemon Belaerys
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La main de Thys
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La main de Thys
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Worgen Stone
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FeyGirl
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DonCelmar
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Tu t’es inscrit
Il vaut mieux ne rien dire et passer pour un con, que l'ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.
Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal.
Le génie et la folie ont parfois des limites, mais la connerie est toujours sans borne.
La connerie à ce point là, moi, je dis que ça devient gênant !
Do Azza, la terreur de la Plazza dans DOH9
DoAzza, l'antipasto copieux de l'humour noir dans DOH10DonCelmar
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Tu t’es inscritBen voilà ! Premier RP paumé par la faute de la patte arrière droite … du chat qui a validé et expédié le message saisi sur la tablette ! Comme je n’avais sauvegardé que l’entame, et que la prose était vraiment conséquente, je vais en rester là pour ce coup ci. C’est vraiment trop injuste et de fort mauvaise augure.
Il vaut mieux ne rien dire et passer pour un con, que l'ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.
Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal.
Le génie et la folie ont parfois des limites, mais la connerie est toujours sans borne.
La connerie à ce point là, moi, je dis que ça devient gênant !
Do Azza, la terreur de la Plazza dans DOH9
DoAzza, l'antipasto copieux de l'humour noir dans DOH10FeyGirl
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@doncelmar : pour mes textes un peu
long, je fais toujours un brouillon sur word.Allons-y pour les RP !
FeyGirl se cachait dans l’ombre d’une ruelle près du marché. De loin, elle observait les allées et venues des clients : matrones, domestiques, commerçants, capitaines de vaisseau, jeunes marins à la recherche de divertissements, et gamins en guenille se faufilant à travers les jupes des adultes après les avoir soulagés de quelques sols.
Elle se détourna des mendiants et de tous ceux qui portaient la pauvreté sur eux. Même les apprentis artisans ne convenaient pas : aucun d’entre eux ne pourrait la payer pendant les décades où elle serait bloquée dans cette ville, le temps de réunir l’argent pour rentrer enfin chez elle.
La mort de Gerold l’avait pris aux dépourvues. Le cœur de ce vieil idiot s’est arrêté au plus fort de l’amusement qu’elle lui offrait, et son corps gras s’était effondré comme une souche sur les draps de soie rouge rubis. Elle avait dû s’enfuir en pleine nuit, abandonnant ses économies pour échapper aux enfants de Gerold qui l’accusaient d’avoir tué leur père. Son précédent amant, Mirven, avait au moins eu le bon goût d’être troué par l’épée de son concurrent : une fin qui ne manquait pas de panache pour un filou au verbe truculent.
Sans le sou, elle devait trouver rapidement un autre riche protecteur. Il n’avait pas besoin d’être beau ou jeune, cependant elle les préférait vigoureux. Autant prendre un peu de plaisir à une relation qui pouvait durer plus d’une saison.
Un homme entre deux âges passa au milieu de la place, vêtu d’une simple robe grise, mais le cou ceint de plusieurs chaînes de métaux étincelant sous le soleil. Un mestre ? Ils étaient réputés chastes, ce qui ne faisait pas son affaire. Quoique. FeyGirl n’était pas née de la dernière pluie, et elle savait que sous des dehors sévères se cachaient parfois des amants fougueux.
Deux belles dames déambulaient devant les étals de tissus. Couvertes de bijoux, habillées de robes brodées et coiffées avec délicatesse, elles attiraient les regards et achetaient des fanfreluches pour un prix qui aurait nourri FeyGirl une année entière. Elle n’était pas très attirée par les femmes, mais celles-ci étaient les plus riches des passants qu’elle avait vus de la journée. Une possibilité à ne pas écarter. Protectrice ou protecteur, cela lui était égal, du moment que la bourse était garnie de sols.
Elle continua sa surveillance.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 5 mois par
FeyGirl.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 5 mois par FeyGirl.
La main de Thys
- Frère Juré
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Zut, je ne voulais pas être premier… Tant pis, je me lance !
Forts d’une troisième expérience au sein du quatrième corps d’exploration de l’armée Villevoise, plus longue que chacune des précédentes, mes pas me ramenèrent finalement en ce début d’été en ma ville natale.
Que d’émotions ressentis-je au moment de traverser la Passe des Trois Ours, instant où se révèle la tour du Mestre et sa flamme éternelle aux yeux de tous les voyageurs souhaitant se rendre à la capitale…
A cette vue des souvenirs enfouis de mon maître remontaient en moi… Ses paroles chaudes et empreintes de bienveillance, sa façon de se tenir face au vent en toutes circonstances… Et ces quelques mots qu’il me souffla ce soir là, lors de notre dernière ascension de la tour.
« Ils possèdent les mêmes pouvoirs que nous, mais les utilisent à des fins diamétralement opposées. Ils sont impitoyables, totalement immoraux et rêvent d’assujettir les Villevois à leur soif de puissance. Pour cela, ils se regroupent au sein d’une guilde qui place au rang de vertus la haine, la violence et le meurtre. Une guilde qui, depuis des années, s’oppose à la nôtre… »
Le retour à la vie de cité s’avère difficile, une semaine seulement s’est écoulée depuis mon retour, et déjà les bruits et les odeurs obscurcissent mes sens. La crainte d’une attaque imminente des hommes d’Euron Greyjoy semble créer une sorte d’hystérie collective chez les habitants. Le doute quand à l’intégrité des dirigeants du Conseil des Mestres n’enlève pas au dramatique de la situation. Les ennemis sont en nombre et profitent de l’ombre de la tour pour se répandre… Demain à l’aube je me présenterai à l’ordre des mestres pour proposer mes services de veilleur. La nuit est propice à qui arpente la voie. De plus, l’activité nocturne autour de la tour a réveillé ma curiosité…
Je ne connais qu’une méthode pour affronter mes peurs et embrasser la vie… Écouter le vent… Vivre… Marchombre.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 5 mois par
La main de Thys.
Les hommes sont comme les nuages. Ils sont chassés en avant par un vent mystérieux et invisible face auquel ils sont impuissants. Ils croient maîtriser leur route et se moquent de la faiblesse des nuages, mais leur vent à eux est mille fois plus fort que celui qui souffle là-haut.
R.Graymarch
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Ben voilà ! Premier RP paumé par la faute de la patte arrière droite … du chat qui a validé et expédié le message saisi sur la tablette ! Comme je n’avais sauvegardé que l’entame, et que la prose était vraiment conséquente, je vais en rester là pour ce coup ci. C’est vraiment trop injuste et de fort mauvaise augure.
Sur Firefox, textarea cache est une extension qui m’a souvent empêché de mordiller mon bureau de rage ou de balancer le clavier par la fenêtre
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 5 mois par
R.Graymarch.
Je sers la Garde et c'est ma joie. For this night, and all the nights to come
MJ de Chanson d'Encre et de Sang (2013-2020) et de parties en ligne de jeu de rôle
MJ par intérim de Les Prétendants d'Harrenhal (2024-), rejoignez-nous
DOH : #TeamLoyalistsForeverUntilNow. L’élu des 7, le Conseiller-Pyat Pree qui ne le Fut Jamais
Schrö-dinger
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Zut, je ne voulais pas être premier… Tant pis, je me lance ! Forts d’une troisième expérience au sein du quatrième corps d’exploration de l’armée Villevoise, plus longue que chacune des précédentes, mes pas me ramenèrent finalement en ce début d’été en ma ville natale. Que d’émotions ressentis-je au moment de traverser la Passe des Trois Ours, instant où se révèle la tour du Mestre et sa flamme éternelle aux yeux de tous les voyageurs souhaitant se rendre à la capitale… A cette vue des souvenirs enfouis de mon maître remontaient en moi… Ses paroles chaudes et empreintes de bienveillance, sa façon de se tenir face au vent en toutes circonstances… Et ces quelques mots qu’il me souffla ce soir là, lors de notre dernière ascension de la tour. « Ils possèdent les mêmes pouvoirs que nous, mais les utilisent à des fins diamétralement opposées. Ils sont impitoyables, totalement immoraux et rêvent d’assujettir les Villevois à leur soif de puissance. Pour cela, ils se regroupent au sein d’une guilde qui place au rang de vertus la haine, la violence et le meurtre. Une guilde qui, depuis des années, s’oppose à la nôtre… » Le retour à la vie de cité s’avère difficile, une semaine seulement s’est écoulée depuis mon retour, et déjà les bruits et les odeurs obscurcissent mes sens. La crainte d’une attaque imminente des hommes d’Euron Greyjoy semble créer une sorte d’hystérie collective chez les habitants. Le doute quand à l’intégrité des dirigeants du Conseil des Mestres n’enlève pas au dramatique de la situation. Les ennemis sont en nombre et profitent de l’ombre de la tour pour se répandre… Demain à l’aube je me présenterai à l’ordre des mestres pour proposer mes services de veilleur. La nuit est propice à qui arpente la voie. De plus, l’activité nocturne autour de la tour a réveillé ma curiosité… Je ne connais qu’une méthode pour affronter mes peurs et embrasser la vie… Écouter le vent… Vivre… Marchombre.
C’est beau, comme du Pierre Bottero <3
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 5 mois par
Schrö-dinger.
Le Kraken à la plage (ah-ouh, cha cha cha)
Corondar
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Eridan
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[mode teaser-RP : on ]
[mode teaser-RP : off ]
"Si l'enfer est éternel, le paradis est un leurre !"
darkdoudou
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Fitz
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de-mil
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Buveurdelatreille
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« C’était l’esprit encore embrumé que mestre Buveur rejoignais la citadelle, il avait pensé qu’une petites marche a travers les pont des l’îles de l’Hydromel l’apaiserait mais il n’en fu rien, pas plus après s’être délecté de quelques chopes de cidre à la « Chope à la plume d’oie ». Il aurait aimé être comme ces acolytes insouciants qu’il avait observés passant du bon temps à la taverne, mais lui sentait bien ce qu’il se tramait. Les nouvelles de la Chute des iles Bouclier avait mis guère de temps à atteindre la citadelle, et cela ne présageait rien de bon. Néanmoins, Mestre Buveur essayait de se rassurer en se disant qu’avec la centaine de bouteille de La treille auré qu’il concevrait cachées sous sa couche, il avait de quoi tenir, une ou deux lunaisons de siège »
Spoiler for NOARLAKFitz
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Eridan
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La main de Thys
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DonCelmar
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Si je ne m abuse, je suis entouré par 2 joueurs au potentiel de louchitude très élevé. À nous trois, je crains qu on ne fasse une brochette hyper louche 🥷.
En parlant de brochette, ça m’a fait penser que je devais sans faute essayer le matos avant le début des hostilités. Bon d’accord, il y a eu un peu de fumée, mais ça à l’air de s’estomper maintenant, hein ?
Donc, Coco, j’ai le plaisir de t’informer que tout fonctionne dans l’au delà, pour ce qui concerne les barbeucs de bienvenue, qui je le rappelle, sont ouverts à toutes et tous sans exception.
Manque plus que les clients, mais ils ne vont plus tarder, n’est-ce pas 😜 !
Il vaut mieux ne rien dire et passer pour un con, que l'ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.
Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du mal.
Le génie et la folie ont parfois des limites, mais la connerie est toujours sans borne.
La connerie à ce point là, moi, je dis que ça devient gênant !
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Hizieł
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Jean-Rémy
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Hé bien, c’est parti alors! J’aurais préféré me retrouver noyé (j’admets que ce n’est peut-être pas la meilleure expression…) dans la masse des acolytes, me sentant plus à l’abri des ambitions krakeniennes, mais je reste assez bas dans la pyramide pour espérer survivre à la première nuit.
Mestre Jean-Rémy. C’est ainsi qu’il serait appelé, dorénavant. Il venait de prononcer ses vœux, et se répétait ce changement de statut, essayant de le rendre plus réaliste. Il triturait nerveusement cette chaîne dont il venait de se parer, avec la pesante impression qu’elle ne lui appartenait pas. En prononçant ses vœux, il avait également répudié son nom. Ce changement-là était bien plus facile à accepter, puisqu’il l’avait de fait répudié dès son arrivée à la Citadelle. Que faire du nom d’un père qui ne veut pas de vous ?
Originaire de La Treille, Jean-Rémy était destiné à un confortable avenir de commerçant en vin. Dès son plus jeune âge, on lui en avait fait goûter, pour entraîner son palais. Les espoirs familiaux placés en lui ne trouvèrent comme finalité que la déception tant, les années passant, il arrivait à peine à différencier du La Treille auré d’une vulgaire piquette partagée dans les bas-fonds. Pire encore, il s’était découvert une passion pour la bière, et estimait qu’on pouvait tout aussi bien découvrir des arômes et des saveurs discrets mais riches dans le liquide houblonné que dans le vin. Une hérésie, dans sa région natale.
Il s’était montré tout aussi incapable dans les arts de la guerre, ayant réussi l’exploit de se blesser durablement le genou avec sa propre épée d’entraînement. Las des échecs répétés dans ses formations, son père lui laissa quand même le choix, dans sa grande bonté :
« – Tu n’es plus mon fils. Tu vas partir vivre ta vie de novice. Sept ou Citadelle ? »
Chaque mot qui lui était adressé semblait faire éclater une cloque dans la bouche de son père, tant il souffrait de l’échec de sa progéniture. C’est pourquoi, depuis longtemps, il en faisait les plus grandes économies. Jean-Rémy n’avait pas tout de suite compris la question, mais lorsqu’il percuta, il n’hésite pas une seconde. La religion l’ayant toujours bien moins intéressé que les connaissances, ce serait la Citadelle.
Il était arrivé à Villevieille, plus âgé que les autres novices et ignorant tout des conditions de son acceptation, mais heureusement déjà instruit des chiffres et des lettres. Il était d’ailleurs rapidement devenu acolyte, forgeant son premier maillon d’or, tant les comptes et la monnaie en général n’avaient pas de secret pour lui. Peut-être la seule chose qu’il avait hérité de ses origines commerçantes.
Et le voici donc mestre, quelques années plus tard. Il n’en revenait toujours pas. Avançant dans les couloirs d’un pas tranquille, caressant un à un ses maillons, il commençait à sourire de cette évolution. Il finit par se dire que cela ne sonnait pas si mal et, comme pour le rendre plus tangible, le murmura pour la première fois :
« – Mestre Jean-Rémy. »
https://www.youtube.com/watch?v=qsOttpuR8bY 😀
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 5 mois par
Jean-Rémy.
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