[PMB] Tour 0 – Bons baisers de Port-Réal

[Ser Aemon Belaerys Exterminateur de SauvageonsPosts : 896]

Quelque part à Port-Réal

-« Winter is coming ! »

– « Quoi ? » Répondit le second garde

– « C’est la devise des Stark, la famille de notre nouvelle Main ! »

– « Et pourquoi tu me dis ça ? C’est l’été ici ! Il fait beau et les oiseaux chantent dans les arbres… »

– « Justement, à propos de chanson, elles peuvent s’écrire dans l’encre et le sang, ou de pelles et pioches, on a vu aussi dans le sable et dans la neige, mais j’en entends une nouvelle qui n’est pas une bonne pour nous »

– « Mais de quoi tu me parles à la fin ? T’es franchement bizarre depuis le décès de Jon Arryn ! Tu peux être plus clair ? »

– « Des assassinats ! Voilà ce dont je te parle ! Le jeu des trônes reprend d’après les rumeurs, mais c’est à se demander si ça a jamais arrêté ! »

– » Ben justement qu’est ce que ça peut nous faire ? On est que des petits troufions des manteaux d’Or, tout ça se passe entre seigneurs »

-« Et à qui crois tu que l’on va demander de faire des heures supplémentaires non payées pour aller enterrer les cadavres ? »

-« Ah oui dans ce cas là, en effet, je me sens concerné ! Enfin quoi que j’ai entendu dire qu’ils ne les enterre pas tous, des fois ils les brûlent, et des fois ben, en fonction de l’état de la personne, ben, ils les laissent sur place… »

-« Hein ? Vraiment ? Par les sept enfers ! Finalement je ne suis pas mécontent d’être là où je suis ! »

Pendant ce temps là, à Tour Blanche

Le Lord Commandant aiguisait sa lame et donnait les dernières instructions à ses confrères manteaux blancs. La reine Cersei lui avait envoyé un message par corbeau.

« Nous arrivons bientôt avec le Roi Robert et sa main Eddard, je vous prie de leur faire bon accueil pour les apparences, mais méfiez vous des gens qui arrivent en ce moment à la capitale : certains sont à la solde de la fille de Lord Stark pour me renverser !

Je compte sur vous pour défendre mes intérêts, je ne veux pas avoir à vous rappeler ce que vous me devez et ce que j’ai fait pour que vous soyez Lord Commandant ! »

Le Lord Commandant était inquiet, cela ne présageait rien de bon pour l’avenir, quand le Maître des Chuchoteurs vint lui rendre visite.

-« Bonjour, très cher ami, je sais que vous avez reçu une lettre que j’ai reçue aussi, la reine Cersei compte sur nous, et nous allons devoir mettre notre rancœur de côté pour la servir, ou nous tomberons avec elle, je le crains ! »

Le Lord Commandant ne fut pas surpris, après tout c’était le rôle du maître espion de savoir cela.

-« Soit ! Je m’allie à vous, si vous m’expliquez comment vous comptez vous y prendre à deux pour contrôler tout le Donjon Rouge ? »

-« Ne vous inquiétez pas, le Grand Argentier et le Grand Mestre seront des nôtres, et nous attendent déjà pour se préparer à l’arrivée du Roi et de la Main ! »

-« Je n’ai pas été prévenu ! »

-« Vous le serez bientôt »

Le Lord Commandant était agacé mais ne voulait pas le montrer, il se tourna vers sa fenêtre, jeta un coup d’oeil envers les différents quartiers de Port-Réal, et remit son épée au fourreau.

-« Espérons quand même que certains seront nos alliés »

Et il se retourna mais le maître des chuchoteurs était déjà parti, puis un garde frappa à la porte.

-« Entrez ! Que voulez vous ? »

-« Ser, on m’envoie vous demander de vous rendre à la salle du Conseil Restreint en vue des préparatifs du retour du Roi ! »

Un peu plus tard, à la salle du Conseil Restreint

– « Merci à tous d’être là, la situation est gênante autant pour vous que pour moi, mais j’espère que nous arriverons à mieux nous connaître et nous apprécier ! » dit le Grand Argentier

– « Inutile d’en faire de trop ! » lui répondit le Grand Mestre « Nos intérêts sont communs, nous défendrons Cersei ensemble ! Ah Voici le Maître des chuchoteurs et le ….  »

– « Comment comptez vous nous débarrasser de Lord Stark ? » Interrompit le Lord Commandant

– « Ce n’est pas de Lord Stark dont il faut se méfier, mais de sa fille Sansa ! Elle est déjà fiancée au prince Joffrey, mais elle ne voudra pas attendre pour devenir Reine ! » dit le Maître des chuchoteurs

– « Alors préparons nous ! Ce ne sont pas quatre nobles comme nous qui allons nous faire dépasser par une gamine ! »

– « DEUX gamines ! »

– « Quoi ? »

– « Margaery Tyrell a des ambitions aussi, quelques comptes à régler avec Cersei et de la jalousie envers Sansa… »

– « Bon sang ! Que le Guerrier nous vienne en aide ! »

« Le Guerrier ni aucun autre des sept ne nous aidera ! Cependant, même si je ne peux rien confirmer, il est possible que dans la population certains puissent trouver Cersei sympathique ! »

Le Lord Commandant regarda bien ses trois complices.

« Bon, ok, mettons nous en place ! Cher Grand Mestre, pouvez vous me donner une fiole de ace-pie-rhines je vous prie ? Et sans vous tromper de flacon si possible ! »

Voilà le jeu est lancé !

Vous avez tous reçu vos attributions par email.

Je vous laisse le temps de découvrir vos rôles, votre situation, vos équipiers, et pour ceux qui souhaitent faire du RP, svp écrivez en italique, pour ceux qui sont en Hors-RP merci d’écrire en bleu.

Bon jeu à tous !

-"Comment veux-tu mourir, Tyrion, fils de Tywin ?"
- "Dans mon lit, à l’âge de 80 ans, le ventre plein de vin et ma queue dans la bouche d’une pute. "

[DroZo Terreur des SpectresPosts : 1713]

Comme tout les partisans de la Reine Cersei au Donjon Rouge, Ser DroZo était un lion.

Un lion blanc tacheté de noir, certes. Mais un lion quand même. Sa couleur atypique lui avait d’ailleurs déjà attiré quelques moqueries durant sa jeunesse, alors qu’il chassait gaiement avec les autres enfants de Castral Rock.

Après tout, le noir et le blanc n’étaient pas les couleurs des Lannister. C’étaient celles des maisons Cassel, Cerwyn, Flint, Forrester, Karstark, Harloi, Morue, Pindepierre, Salfalaise, Volmark, Cirley, Tallett, Grendel, Staunton, Rogers… Et être un lion de Castral Roc sans porter les couleurs des Lannister, ça la foutait mal.

En fait, il n’y avait pas que sa couleur qui posait problème. Il y avait aussi sa taille. Ser DroZo était très petit pour un lion. C’était un lion nain, encore plus petit que Tyrion.

Et il n’avait pas de crinière aussi.

En fait, Ser DroZo commençait à se demander si en fin de compte il n’était pas un chat.

Ce qui expliquerait pourquoi le petit prince Tommen l’aimait tant d’ailleurs.

Aussi Ser DroZo rentra-t-il dans la salle du Conseil Restreint. Il s’essaya sur les genoux du Roi Robert, pris la parole devant tous les partisans Lannister et déflara :

« Rrrrrrrrrrrrrrrrrrrr ! Rrrrrrrrrrrrrrrrrrr ! Rrrrrrrrrrrrrrrrrr ! »

Ce qui signifiait en langage félin : « Grattes-moi derrière l’oreille comme ça humain »

Cela fait, il put se mettre au travail.

MJ du jeu de rôle sur forum Les Prétendants d’Harrenhal (LPH).Rejoignez-nous !
A.k.a. Fanta le Fantôme avec des bulles dans DOH10.

[Ordwyn Frère JuréPosts : 90]

Je ne répondrai qu’une chose :

Tremblez.

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[Aerolys Fléau des AutresPosts : 3099]

Aero patientait près de Fossedragon. Il avait posé son étalage de fleurs et attendait que des clients s’approchent. Il se demandait s’il avait bien choisi le lieu pour son commerce. Mais, là où il se trouvait, il entendait nombre de rumeurs sur la nouvelle Main du roi et sa fille qui, selon celles-ci, était fiancée au fils du roi. Un mariage, c’était bon pour le commerce.

Mais, pour une raison qu’il ignorait, il sentait que quelque chose se tramait. Certains allaient se faire envoyer sur les roses. C’était juste une impression, rien de plus…

Toutes les plus belles histoires commencent par une brique sur le pied.

Si Theon ouvre un bar, c'est le Baratheon.

Spoiler:

[Sandrenal Pas TrouillardPosts : 731]

Culpucier… Un endroit violent rempli d’hommes violents à une époque de plus en plus violente. Habitué de Culpucier, Sandrenal avait appris à sentir son ambiance si particulière. Le sac de Port-Réal avait été suivi par des années de relative tranquillité rythmées par les meurtres crapuleux et les règlements de compte. Mais la mort de Jon Arryn avait entraîné un changement brutal d’atmosphère, comme si les bas-fonds retenaient leur souffle en attendant de voir de quel côté la pièce allait tomber. La pièce était finalement tombée du côté Stark. L’annonce du retour du roi dans sa capitale accompagné du loup nordien avait provoqué l’arrivée de nouveaux visages à Culpucier et la sortie des couteaux chez les anciens visages.

Trop de visages, trop de nouveaux joueurs, trop de nouveaux enjeux. Le taux de mortalité allait bientôt s’envoler à Port-Réal et Culpucier serait comme toujours l’endroit le plus dangereux de la capitale. Sandrenal décida de renouer avec ses anciens contacts afin de rester au contact des dernières rumeurs et d’affûter ses dagues pour décourager ses compères malandrins.

[darkdoudou Pas TrouillardPosts : 733]

darkdoudou vivait ses moments comme dans un rêve, il découvrait la capitale du royaume et tout lui paraissait grand et beau. Jamais il n’avait vu de donjons aussi hauts, de murs aussi épais et autant de bannières sur les créneaux.

Cadet d’une famille nombreuse, il s’était enfui un matin et avait supplié un chevalier errant de le prendre à son service. Celui-ci avait écouté avec un léger sourire aux lèvres la longue supplique de darkdoudou, et, avait réalisé les espoirs de darkdoudou en acceptant qu’il prenne soin de ses repas, son linge, son équiment. Darkdoudou apprenait aussi rapidement à s’occuper de la jument baie, des armes et de la lourde armure. Pour le moment il prenait toutefois plus de coups de pieds dans le postérieur que de leçons d’escrime.
Son maître était un chevalier qui voyageait dans tout le royaume de tournois en tournois, et visiblement il arrivait à s’en satisfaire. Mais darkdoudou avait d’autres ambitions.

Le tournoi de la Main qu’on annonçait allait être une belle expérience : de partout arrivaient de fiers seigneurs, des capitaines autoritaires, des chevaliers impressionants. Un jour lui aussi il ferait partie de ce monde!

 

[Caracole le Troubadour Éplucheur de NavetsPosts : 23]

Dans sa chambrée, Caracole observait Port-Réal de sa fenêtre. Derrière lui, son assistant triait et rangeait les pamphlets et poèmes que le membre du Conseil venait de lui faire rédiger. On ne le surnommait pas « le Troubadour » pour rien ! Si la ménestrandise de Port-Réal ne l’entendait pas de cette oreille, rien n’empêchait Caracole de s’adonner à l’art noble des lettres. Avec brio, disait-on. Quant au gamin, il s’agissait d’un jeune scribe malingre, d’aucun aurait dit minable, mais Caracole avait vu en lui une étincelle d’intelligence et de perspicacité. Aussi l’avait-il aussitôt réclamé à son service.

« Ce sera tout, messire ? » questionna le jeune homme.

Caracole lui lança une œillade avant de répondre.

« Non. Le Conseil a un message à faire passer, je souhaites que tu t’en charge ».

Déjà, le petit scribe s’avançait afin d’écouter ce que son maître avait à lui déclamer.

« Tu as entendu les rumeurs, n’est-ce pas ?

_ A propos des rebelles ?

_ Hmm.

_ Ce ne sont que des chuchotis.

_ Je me méfie des chuchotis, petit. Et le Conseil Restreint ne les prend pas à la légère non plus. Aussi, je veux que tu clames haut et fort ce qui suivra dans chaque grand avenue, chaque ruelle, chaque chemin de cette cité. De la colline de Vissenya à Culpucier, tous doivent avoir vent de ce que nous réclamons autant que nous avons eu vent de ces rumeurs au sujet des Stark et des Tyrell. Entendu ?

_ Ce qu’il vous plaira, messire ».

Abandonnant l’apprenti, Caracole retourna à sa fenêtre. Observant les toits innombrable de l’immense cité, il fit la moue. Tant de nouveaux étaient revenus du Nord avec le Roi Robert. Avec la caravane avait soufflé un vent de révolte, d’autant plus renforcé par la venue supplémentaire de ceux qui souhaitaient ajouter leur nom à l’illustre tournoi du roi. On murmurait déjà que certains rêvaient de mettre Margeary et Sansa sur le trône. Quelle idiotie. Comme si ces petits sottes avaient la capacité de diriger un pays. Caracole se doutait bien que, derrière ces deux ingénues, au-dessus des filets de ces marionnettes, se cachaient deux femmes d’un âge mûr, deux manipulatrices hors-pair qui avaient Cersei en horreur. Jalousie.

« Que tous sache ceci : le Conseil a eu vent de ces airs de rebellions. Si certains souhaitent défier leur suzerain et entrer dans le jeu des trônes, qu’ils soient mis au courant que toute partie d’échec se joue entre gentilshommes. Nous invitons ces chefs rebelles à nous contacter afin de lancer la danse. Un corbeau suffira, mais qu’ils sachent que nulle pitié ne sera faite aux couards et aux rats.

_ Je ne comprends pas, messire.

_ Hum ?

_ S’ils souhaitaient… Enfin, « jouer aux échecs » avec vous, pourquoi ne le feraient-ils pas le plus discrètement possible ?

_ Parce qu’alors tous sauraient. Le peuple saurait immédiatement, mon garçon, que les lâches et les ruffians préparent une révolte. Des vermisseaux comme on en voit peu. Vois les Stark. Ils se cachent derrière leur honneur, n’est-ce pas ? Que ce fameux chef rebelle se taise et c’est la maison toute entière d’Eddard Stark qui en sera entachée. Et la Rose ? Elle a déjà la réputation d’être menteuse et perverse, voilà l’occasion de laver son honneur. Cela leur évitera peut-être que chacun chuchote que Margeary et son frère ne sont que deux poupées salaces aux mœurs impies. Ils ont là l’occasion de faire taire ce qui se dit si fort que même le Roi l’entend. Tu vois ? C’est un geste que nous leur faisons.

_ Mais comment le peuple saurait-il que des rebelles veulent s’en prendre au roi si personne ne parle ?

_ Voyons, mon garçon. Le peuple sait tout. Il finit toujours par savoir… »

Le jeune homme afficha un regard entendu. L’idée avait fait son chemin lentement, mais elle était désormais entièrement comprise et validée par des hochements de têtes entendus. Le petit avait grandit à Culpucier, il en connaissait les rouages et les ont-dits. Caracole congédia le scribe avant de réaliser qu’un troisième individu était dans la pièce depuis… depuis combien de temps, au juste ?

« Tiens, tiens. Bonjour, Ser DroZo, quels conseils avisés avez-vous à nous apporter, ce soir ? »

Lorsqu’il papouilla le chat sous la mâchoire, ce dernier se mit à ronronner abondamment. Le prenant dans ses bras, l’humain s’en alla avec la bête et entreprit de traverser pièces et couloir du Donjon Rouge.

« Allons voir ton maître, matou ».

Plutôt que de se diriger vers les quartiers du roi, Caracole grimpa les marches quatre à quatre, allant directement toquer chez le Prince Tommen. Lorsqu’on le fit entrer dans la chambre du garçon, ce dernier se retourna avec des yeux pétillants.

« Nous vous ramenons votre plus fidèle conseiller, mon Prince.

_Ser Drozo ?! »

Lorsqu’il aperçut le matou, il se rua à son encontre. Caracole lui tendit l’animal qui fut prit dans les bras du garçon dans les plus brefs délais.

« Mon prince », salua Caracole en observant l’enfant.

Le gamin l’ignora et frotta son nez dans les poils du chat, qui se mit à ronronner derechef, plus bruyamment que jamais. Son frère, Jeoffrey, ferait un piètre roi, mais il n’en allait pas de même pour Tommen. Si le premier né était une pomme pourrie, le petit Tommen représentait un beau fruit, bientôt mûr pour être cueilli. Avec délicatesse, Caracole se dirigea vers la fenêtre ouverte de la chambre et invita Tommen à le rejoindre.

« Savez-vous jouer aux échecs, mon prince ?

_ Non.

_ Voudriez-vous apprendre ? »

Le gamin observa l’adulte avec des yeux pétillants avant de s’avancer à son tour vers la fenêtre, le chat dans les bras. Caracole prit ça pour une réponse affirmative et se posta aux côtés de son prince, tendant la main vers la ville.

« Observez bien votre capitale, mon Prince. Regardez la ville, ses toits innombrables et ses damiers. C’est une ville gangrénée par des bouffons et des pions. Mais le reste du peuple sera à votre disposition, mon Prince, pour protéger votre lignée et votre famille ».

Se penchant vers Tommen, Caracole plongea son regard dans le sien.

« Le Conseil et moi-même avons promis de vous protéger coûte que coûte, mon Prince. Et nous nous y emploierons. Personne n’osera braver votre mère, ni vous. Le Lion régnera longtemps sur Westeros, je puis vous le garantir.

_ Et le Cerf ! Vous protégez aussi mon père, messire, répliqua l’enfant d’un ton innocent.

_ Évidemment… Puisse-t-il vivre longtemps », susurra le conseiller.

Je n'ai jamais modifié la vérité ! N'insultez pas mon art ! Non, disons juste que... Hum, j'embellis l'Histoire.

[Lynnesis Patrouilleur du DimanchePosts : 141]

La porte de son établissement venait de se refermer derrière le dernier client. Appuyée sur le garde-corps de la fenêtre, elle le regardait s’éloigner à petits pas pressés dans les rues sinueuses de Culpucier alors que le ciel prenait lentement les couleurs de l’aube.

Dehors, les premiers commerçants s’agitaient, préparaient leurs étals et embaumaient son quartier d’une odeur de pain chaud. D’une odeur de pain chaud mélangé à l’odeur de pisse, mais c’était toujours plus agréable que l’odeur de pisse, seule.

À l’étage, elle entendait ses filles finir leur toilette avant d’aller se reposer. Certaines dormaient déjà, après cette longue journée difficile, mais prolifique.

Lynnette finit sa liqueur de pomme d’un trait tout en pensant aux nouvelles protégées qu’elle devait accueillir le lendemain. La nouvelle main du Roi arrivait et avec elle, son lot de clients à satisfaire.

Peut-être qu’elle dormirait une ou deux heures cette nuit.

[Macaria Patrouilleur du DimanchePosts : 132]

Sur la colline de Visenya, la vieille  Macaria assista les pyromants dans l’élaboration de la substance.

La tension dans la capital été monté d’un cran. Deux Lady voulaient s’approprier un prince, et une reine avait peur de perdre son influence.

Elle savait que tôt ou tard des hommes de Cercei Lannister ou des rebelles allaient demander de l’aide au sages.

La couronne n’avait pas sollicité la guilde depuis la mort du vénérable roi Aerys II Targaryen.

Le jeu des trônes l’importait peut. Macaria voulais seulement voir la ville s’endormir enveloppée de lumière verte …

• Cette réponse a été modifiée le il y a 4 années et 11 mois par Macaria.
• Cette réponse a été modifiée le il y a 4 années et 11 mois par Macaria.
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