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House of the Dragon 2 x 07 : La Semaison rouge

House of the Dragon 2 x 07 : La Semaison rouge

Voilà que nous commençons à approcher de la fin de cette saison 2 de House of the Dragon avec cet épisode que Baelor et d’autres considéreraient comme sacré puisqu’il s’agit du septième ! Merci à notre lady Commandante de m’en faire l’honneur !
Personnellement je reste assez dubitatif sur cette deuxième saison dont le rythme demeure assez inégal, ayant du mal à comprendre comment on peut vouloir autant lisser et ralentir les choses dans une série dont le but est quand même de raconter, dans un monde de fantasy, la chute d’une puissante dynastie dans sa plus terrible guerre à grands coups de dragons. Néanmoins, il faut souligner, comme depuis le départ, la performance toujours remarquable du casting qui tient la barre haute et qui permet de rester accroché. Ils y croient (probablement plus que les scénaristes) et c’est beau à voir. Les décors sont chouettes et les costumes superbement travaillés. Bien que le rythme de montage et de narration soient largement discutables (chacun son avis), la réalisation offre de jolis moments, que ce soit par la mise en scène, le cadrage ou la photographie.
Aussi, sans plus attendre, pour La Garde et pour vous, entrons dans le parcours de ce septième épisode.

Intro – Face à la mer

Syrax Fumée-des-mers

Rhaeyra/Syrax face à Addam/Fumée-des-Mers

La fin de l’épisode 6 nous laissait sur Rhaenyra voulant aller voir par elle-même celui qui montait nouvellement le dragon Fumée-des-Mers.
L’épisode 7 s’ouvre sur la plage, dans ce face-à-face entre Rhaenyra (et son dragon Syrax) et Addam de Carène (et son dragon Fumée-des-Mers).
La scène est assez lente et longue, montrant beaucoup de méfiance de la part de tous, que ce soit les humains comme les dragons, où l’on perçoit bien que chacun appréhende l’attitude de l’autre en face. Après avoir spécifié qu’il n’attendait rien, et surtout pas un tel cadeau du ciel, Addam met un genou en terre et affirme vouloir servir Rhaenyra, qui reste surprise d’un serment aussi rapide. Passées quelques questions de rigueur (Rhaenyra sachant le sang Targaryen « nécessaire » pour monter les dragons), notre reine du camp Noir finit par se réjouir de l’exploit et de ce nouvel allié, l’invitant à la rejoindre sur Peyredragon. Son plan d’obtenir de nouveaux dragonniers opère. Et d’un !

Les Verts (à moitié vide)

Nous retrouvons lady Alicent Hightower, reine douairière, se faisant soigner des suites de l’émeute du précédent épisode, discourant sur la vacuité de l’existence et l’insignifiance des actes accomplis, et constatant (enfin) à quel point le Donjon Rouge abrite les infamies de l’âme humaine. La phrase « Nous sommes mis de coté ou détestés » peut autant référer à la position des femmes agissant dans les strates du pouvoir qu’au statut même des personnes œuvrant dans l’ombre. Théorie dont le Grand Mestre Orwyle semble n’avoir rien à faire. Au sortir de ce court échange blasé, notre reine verte – dont le diagnostic de dépression tourne sur elle plus sûrement que tous les dragons réunis – exige de ser Rickard (le Garde Royal affecté à sa protection) de partir au Bois-du-Roi, maintenant, et sans autre escorte que lui-même.

Alicent HOTDS2

« J’en ai ma claque de tout cette pagaille »

Dans la cour de ce même Donjon, temple d’altruisme et de bienveillance, nous voyons lord Larys Fort (maitre des chuchoteurs) et lord Jasper Wylde (maître des lois) du Conseil Vert, deviser tandis que deux membres de la Garde Royale d’Aegon II sont défaits de leur manteau blanc et envoyé au Mur sur ordre du régent Aemond. Lord Jasper fait part à lord Larys d’une vague information prétendant que Fumée-des-Mers aurait un nouveau dragonnier inconnu. Tous deux se jugent et se jaugent, dans un échange assez finement joué où l’on sent l’importance d’une information et la valeur qu’elle peut avoir à être donnée à une personne d’importance (ici, tous deux émettent l’idée de l’annoncer à Aemond le régent), mais également le risque que représente une telle information quand celle-ci est trop peu fiable. Finalement, après une discussion où chacun sous-entend que l’autre veut s’attirer la faveur d’Aemond, il est décidé qu’il ne vaut mieux rien en dire pour l’instant. Tension et méfiance dans les jeux de pouvoirs politiques, une petite scène sympa au service du jeux d’influence classique. Tout ça pendant qu’Aemond l’Intransigeant se fait un plaisir de dégager au Mur les anciens petits camarades de son royal frère.

Noirs et obscurantisme

Retour au Conseil Noir qui apprend l’identité du nouveau dragonnier. Les lords du Conseil Noir, dont Jacaerys Velaryon lui-même, semblent douter d’une telle allégeance et afficher un certain mépris envers ce « charpentier » nouveau dompteur de dragon. Les dragons c’est pour les seigneurs, pas les roturiers !

Un doute malgré tout partagé par Rhaenyra, que l’on voit échanger avec sa désormais nouvelle crushfriend/confidente/maitresse espionne/psy/fausse ex-tante, j’ai nommé lady Mysaria. Rhaenyra se rend bien compte qu’au-delà de toutes ces questions de sang ou de mérite, le constat est là : cet inconnu Addam de Carène a chopé un dragon ! Lignage vertueux (plus pur que feu Sombrelyn – avec mauvais jeu de mot) ou cadeau des dieux, la reine noire veut en trouver d’autres. Et voilà que miss Mysaria lui rappelle la réalité du monde : les hommes Targaryen ont passé leur vie à semer des bâtards dans tous les bordels où ils sont passés !
« Des gens ordinaires » déplore la reine noire. « Tout à fait » rétorque Mysaria avant d’ajouter : « c’est vrai que les gens nobles comme votre propre parenté est elle-même plus digne de confiance ! Tellement fiable qu’ils n’usurpent absolument pas votre trône en ce moment même ».
Convaincue, et repensant aux insultes jetés à ses fils durant des années (petit rappel pour séquence ultérieure), Rhaenyra se vengera avec
une « armée de bâtards ».

Petit séquence rapide avec Addam de Carène découvrant ses appartements et sa nouvelle stature. Lord Corlys (seigneur – et présumé père ? – d’Addam) vient le saluer et le féliciter. Addam lui demande la permission de quitter son emploi de charpentier pour pouvoir être dragonnier. Cela semble couler de source mais visiblement y a besoin d’autorisation. Corlys donne la permission. Scène courte, peu utile mais montrant que les deux hommes ont un rapport particulier. Simple et efficace.

Conflits au Conflans

Et nous arrivons à ce qui, selon moi bien sûr, pêche dans cette deuxième saison : l’arc narratif de Daemon Targaryen à Harrenhal, qui souffre de gros problèmes de rythme et d’écriture.
Après la mort de lord Glover Tully, le nouveau seigneur du Conflans est le très très jeune lord Oscar Tully (presque un enfant) qui vient à Harrenhal avec tous les seigneurs riverains, conformément à la demande de Daemon.
Dans un premier temps, nous avons un échange entre Daemon et Oscar Tully en privé. Daemon, toujours aussi « insolent », a définitivement décidé d’enterrer toute notion de tact encore plus profondément que les ruines de Valyria. Le jeune Oscar ne se laisse pas démonter, lui reprochant d’avoir cautionné des massacres et d’adopter des attitudes méprisantes. Il ose le ramener à son statut de « roi consort », ainsi que tout le monde aime à le rappeler. Ce qui est un défaut d’écriture pour moi.
Le personnage de Daemon Targaryen est censé être un personnage de légende craint et respecté, malgré ses débordements et travers. Cela ne peut pas uniquement se traduire par le jeu de l’interprète, ça doit aussi résider dans l’attitude de l’entourage. Or l’entourage de Daemon à Harrenhal ne semble jamais bien le craindre, voire n’hésite pas à le piétiner. (Bon, d’un autre côté, le type se prétend empoisonné et soupçonne tout le monde SAUF la personne la plus évidente… Une minute de silence pour son intelligence).

La séquence se poursuit à l’extérieur, avec tous les seigneurs riverains et le vieux barral en témoin. Bel endroit chargé de symboles et d’histoire.
Daemon rappelle la tradition de suivre son suzerain, donc le jeune Oscar, et donc de l’accompagner à la guerre avec Daemon. Les seigneurs mettent en doute le fait de suivre un suzerain aussi jeune et cautionnant des massacres. Nous assistons alors à un joli jeu politique du jeune Oscar, qui roule encore sur Daemon, l’humiliant devant tous, lui rappelant sa position et le forçant à reconnaître la hardiesse du petit Tully tout frais ainsi que sa droiture.
La scène est intéressante car la tension monte entre tous. Encore plus entre les seigneurs des rivières quand la justice est réclamée pour les actes de lord Willem Nerbosc. Ce dernier prône l’union et jure fidélité à Oscar Tully. Mais le petit n’a pas dit son dernier mot ; le crime de Willem Nerbosc ne mérite que la mort en punition. Et là, petit coup de force : Oscar promet ses bannières à Daemon si celui-ci accomplit lui-même la sentence, ce qu’il fait assez promptement mais non sans tourments. Une sympathique séquence permettant de retrouver de beaux moments de tensions à implications physiques comme politiques.

Daemon retourne ensuite dans sa chambre. Il y croise au passage une chèvre (pas compris l’allusion. Évidemment qu’on voudrait faire un lien avec Qohor mais ça me paraît trop tordu. D’un autre côté, cette chèvre qui bêle sur lui n’a absolument pas surgi ici par hasard – vos avis ?).
Sur son lit, Daemon y voit son défunt frère Viserys Ier. On comprend par cette vision que Daemon commence à réaliser le poids de la couronne qu’il convoite, ainsi que les malheurs qu’elle engendre.
La scène est sympa et ça fait toujours plaisir de revoir Viserys, parce que Paddy Considine, il était vraiment cool pour interpréter ce perso (je trouve).

Daemon Harrehal

« Futé le petit Oscar… »

Pendant ce temps, partout…

Mestre Orwyle aide Aegon le Brûlé à réapprendre à marcher. Aegon douille sévère et n’y parvient pas. Lord Larys Fort débarque. Moment teinté d’ironie où l’homme au pied-bot et à la canne aide le roi à se traîner jusqu’à son lit. Orwyle demande davantage de repos pour le roi, Larys Fort lui déclare que cela n’arrivera pas, après avoir subtilement miné le moral du jeune roi. Voilà, scène rapide mais c’est montré : le roi convalescent est cerné d’un entourage majoritairement destructeur. Peu sont soucieux de son réel bien-être. Et le mestre n’est que trop peu influent pour y changer quoi que ce soit.

S’en suit une scène peu utile où Corlys recrute le jeune Alyn pour une mission à Port-Réal, lui parle de son frère dragonnier et fait une allusion à leur mère et leur sang, nous perdant un peu sur ce que Corlys sait ou pas de ces deux frères finalement.
J’ai vraiment le sentiment que les scénaristes ne savent jamais trop quoi faire du personnage de Corlys. Alors que de base, c’est un intriguant de talent, en plus de son passé de navigateur.

Au Val d’Arryn, la princesse Rhaena escorte les deux plus jeunes fils de la reine Rhaenyra pour Pentos. Mais sur un coup de tête stupide et dans un élan aussi soudain que pas discret, elle s’éclipse pour partir en traque du fameux « dragon sauvage » résidant dans le Val. Le sang Targaryen n’empêche jamais d’avoir des idées, mais joue beaucoup sur la perception de leur qualité visiblement.

Enfin, en forêt, nous retrouvons La reine verte Alicent et son garde ser Rickard. A la question « Quand repartir en ville ? », Alicent rétorque « Pas sûr que j’y retourne. » Bon, ça vise la fugue ? Le ras-le-bol de tout ? Les retrouvailles avec son dernier fils Daeron à Villevieille ? Tout est possible.

Jacaerys broie du Noir

Scène intéressante où l’on voit Jacaerys reprocher à sa mère l’emploi du bas-peuple comme dragonniers. La conversation dérive sur l’éventualité que ces dragonniers puissent revendiquer le pouvoir, armés de dragons. Puis, cette famille ayant visiblement toujours plus besoin d’une psychanalyse que d’une couronne, Jacaerys ouvre son cœur sur son statut de bâtard évident et tout ce que ça implique. Malgré les larmes et la douleur (toujours très bons les comédiens), Rhaenyra ne peut déroger à ce « cadeau des dieux » ; elle doit recruter ces nouveaux dragonniers. La scène est belle et met en confrontation le fils (jusque là fidèle soutien) avec sa mère, qui doit ouvrir les yeux sur de nouvelles implications qu’elle semble refuser de voir. Tel père, telle fille.

Jacaerys

« Mère, c’est eux ou moi ! »

Le mot est passé. La capitale apprend que Rhaenyra recrute de la semence de dragons. Rumeur qui parvient à Ulf (convaincu par ses amis) et Hugh (convaincu par lui-même). Où l’on apprend que Hugh serait donc un cousin de Viserys et Daemon. Et que sa petite fille est décédée. La vie à Westeros…
Et voilà que nos deux comparses embarquent sur les navires d’Alyn, en compagnie de nombreux autres, pour Peyredragon.

Pendant ce temps, Alicent se baigne. Bon. Voilà. L’endroit a l’air joli. Super. Pas plus.

A Peyredragon, l’ordre de vieux dresseurs qui éduquent et maitrisent des dragons avec des bâtons de bois depuis des générations (un jour on m’expliquera la logique) reproche à la reine Rhaenyra cette quête de bâtards indignes de monter les « bêtes sacrés ». Ils se cassent. Devant tout le monde. Nickel. On notera qu’en ces temps troublés, plus grand monde ne craint de s’opposer à la volonté des puissants. Pouvoirs, croyances et traditions sont fragilisés. Est-ce une réelle volonté des scénaristes ou une erreur d’écriture ? Je n’oserai me prononcer.
Gardant contenance, Rhaenyra motive tous ces volontaires à aller enfourcher le dragon Vermithor, l’un des plus vieux et le plus grand après Vhagar.
A noter que Vermithor fut la monture du grand roi Jaehaerys le Conciliateur.

Qui sème le feu récolte le grillé

Et c’est donc là, dans ce dernier petit quart d’heure de l’épisode, que nous contemplons l’étendue d’une certaine sottise qui donne son nom audit épisode.
La reine Rhaenyra amène toute sa jolie foire de prétendus bâtards et bâtardes dans les cavernes de l’île, appelant Vermithor. Ce dernier, dans un plan super classe qui, confessons-le, donne à Rhaneyra une certaine « badassitude » auprès de tous, sort des profondeurs tel un cousin de Balrog. Et après cela, Rhaenyra se tire ! N’ayant pas plus à dire, et n’estimant visiblement pas utile de guider une telle plèbe devant un monstre comme Vermithor, elle part assister à son grand plan depuis un balcon.

Je tiens à préciser que je trouve toujours aussi belle l’animation des dragons et j’apprécie particulièrement la qualité apportée au travail du sound-design de leur grondement, cris, roulement, sons de gorge et autres bruitages les concernant. Il y a du détail et de la variété là-dedans qui méritent d’être soulignés.

Nul besoin de préciser que confier une arme nucléaire entre les mains d’élèves de primaire a peu de chances d’avoir une issue favorable.
Nous sommes donc nous-mêmes surpris de voir Rhaenyra surprise que son plan échoue. Évidemment, le vieux Vermithor transforme toute cette belle assemblée de courageux volontaires en superbe promotion sur le rayon barbecue un 15 août. Quoi que, diraient certain, elle n’est peut-être pas tant surprise que désolée pour les victimes, autrement dit son peuple. Une reine concernée.
Je passe les détails de la débâcle – la fameuse Semaison Rouge – mais au milieu du désastre se distingue, bien sûr, nos amis Hugh puis Ulf. Le premier parvenant à s’attirer le consentement de Vermithor. Et de deux !
Le second, en fuyant, finit par devenir copain avec un autre dragon (anonyme mais il s’agit normalement d’Aile d’Argent). Et de trois !

Vermithor et morts

Bon, ben la Semaison rouge quoi….

Les Verts (encore plus vides)

La dernière séquence se finit sur le Conseil restreint des Verts, où l’on apprend que l’armée Hightower est en difficulté mais que le dragon Tessarion vole enfin, permettant au jeune frère Daeron (dernier-né d’Alicent) de pouvoir bientôt rejoindre Aemond dans la guerre. Mais nos membres ont l’ouïe fine, ils peuvent donc percevoir le bruit de la foule de Port-Réal paniquée. Et pour cause : Aile d’Argent survole la ville. Ni une ni deux, Aemond enfourche Vhagar et traque cette vilaine bête jusqu’à Peyredragon pour faire demi-tour en arrivant vers l’île.
Aemond voit ce que nous voyons : Rhaneyra, et son dragon Syrax, sont entourés de trois nouveaux dragons, montés, et prêts au combat.

Fin de l’épisode (après un plan un peu trop long sur le visage de Rhaneyra où on a bien compris qu’elle était déterminée).

Rhaenyra et dragonniers

« C’est bon ? C’est coupé là ? c’est long ! »

Conclusion

Personnellement, j’ai l’impression que cette saison 2 est un peu en dents de scie, en montagnes russes. De bons moments et des longueurs inutiles, comme fortement dans l’épisode 6 par exemple.
Ce septième épisode apporte un peu plus de tonus dans une saison quelque peu essoufflée et c’est assez agréable. Le contenu y est assez riche et dense, contrairement à d’autres épisodes vides et aux scènes étirés. Serait-ce une mauvaise répartition de la charge dramatique dans l’écriture de la saison ? Possible.
Cet épisode ré-arme le camp des Noirs en dragons, déséquilibrant le rapport de force, et leur donne un argument pour dominer les Verts. Toutefois, ce recrutement de la semence de dragons a fragilisé les liens qui unissait assez fortement les Noirs. Rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme !
Les épisodes 5 et 6 laissaient un goût de « bof », ce 7ème redonne un peu espoir grâce à un rythme qui retrouve de l’élan.
Je regarde la série parce que je suis un passionné de cet univers et que, malgré tout, j’y prends du plaisir.
Néanmoins je me pose une question : si ce n’était pas dans cet univers de fantasy de notre GRRM que nous adorons tant, est-ce que l’on continuerait à regarder ?

 

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6 Comments

  1. Merci pour le résumé. J’adore vous lire (les bloggeurs / rédacteurs).

  2. Merci pour le résumé ! En ce qui concerne la chèvre, j’y vois une préfiguration de Varshé Hèvre, le mercenaire cinglé de GoT, qui, après avoir mis le feu à tout le Conflans, attend à Harrenhal son destin… Pas de spoiler mais le parallèle avec Daemon peut se faire.

    • Waou costaud le lien ^^ y’a une idée mais peut-elle tenir en sachant que dans la série GoT, le fameux Varshé n’est jamais vraiment relié à la notion de Chèvre ?
      En tout cas, l’apparition de cet animal me laisse dubitatif

    • Tout à fait, dans un épisode précédent (onirique ?), Daemon voit déjà une chèvre noire ainsi que des chiens (sans doute pour représenter Gregor Clegane qui sera aussi le seigneur de la forteresse dans le futur)

  3. Ah c’est pas bête. Ce serait vachement subtil mais pourquoi pas

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