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- Ton goût des putains est une faiblesse intrinsèque, lui assena lord Tywin tout à trac, mais peut-être y ai-je ma part de reproche. A te voir pas plus haut qu’un gosse, j’ai eu un peu trop tendance à omettre que tu es un homme fait, soit sujet aux besoins les plus bas d’un homme. Il est plus que temps de te marier. » | - Ton goût des putains est une faiblesse intrinsèque, lui assena lord Tywin tout à trac, mais peut-être y ai-je ma part de reproche. A te voir pas plus haut qu’un gosse, j’ai eu un peu trop tendance à omettre que tu es un homme fait, soit sujet aux besoins les plus bas d’un homme. Il est plus que temps de te marier. » | ||
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ASOS - Tyrion III<ref name="asos,c20">[[A Storm of Swords, Chapitre 20, Tyrion]].</ref>. | ASOS - Tyrion III<ref name="asos,c20">[[A Storm of Swords, Chapitre 20, Tyrion]].</ref>. | ||
Version actuelle datée du 22 avril 2025 à 10:50
Vie affective et sexuelle dans les Sept Couronnes
« Comment se fait-il que tu les aies pris ? - Eh bien..., il se trouve que... - que je m’étais absenté. J’avais traversé la Culbute, eh bien, pour... - Te taper une pute ou courir la gueuse. La suite ? » // "You were whoring or wenching. Get on with the tale." Il était devenu du même rouge que sa barbe. ACOK - Catelyn V[1].
— Autre espèce de bataille que les enfants. » Catelyn se remit en marche. « Une bataille qui, pour ne s’orner ni d’étendards ni de sonneries, n’en est pas moins féroce. Porter, mettre au monde..., votre mère vous aura parlé de la douleur que... — Je n’ai pas connu ma mère, intervint Brienne. Mon père avait des dames..., une dame enfin qui changeait tous les ans, mais... — Ce n’étaient pas des dames, trancha Catelyn. Si pénible que soit l’accouchement, Brienne, ce qui suit l’est bien davantage. Il m’arrive de me sentir comme écartelée. Que ne puis-je être cinq moi-même, une pour chacun de mes enfants, je pourrais dès lors les sauvegarder. — Et qui, madame, vous sauvegarderait, vous ? » Petit sourire las. « Eh bien, les hommes de ma maison, si j’en crois les leçons de dame ma mère. Le seigneur mon père, mon frère, mon oncle, mon mari..., mais aussi longtemps que durera leur absence, je présume qu’il vous faudra les suppléer, Brienne. » [...] « Je me souviens d’une femme, reprit Brienne, originaire de... – de quelque part au-delà du détroit. Je ne saurais préciser même en quelle langue elle chantait, mais sa voix m’enchantait autant que sa personne. Ses yeux avaient le coloris des prunes, et sa taille était si fine que les mains de Père suffisaient à l’enserrer. Il a des mains presque aussi grandes que les miennes. » Elle reploya ses longs doigts épais comme pour les dissimuler. ACOK - Catelyn VI [2]
Un demi-sourire effleura les traits de Cersei. « Le fils légitime de Robert et son héritier. Encore que Joffrey se mît à pleurer pour peu que Robert le prît dans ses bras. Sa Majesté n’aimait pas cela. Ses bâtards lui avaient toujours gargouillé des risettes et sucé le doigt, lorsqu’il le fourrait dans leurs petits becs vils. Robert voulait des sourires et des ovations, toujours. Aussi courait-il où il en trouvait, chez ses amis et chez ses putes. Robert voulait être aimé. Tyrion, mon frère, est atteint du même mal. Veux-tu être aimée, Sansa ? - Tout le monde veut être aimé. - Je vois que la floraison ne t’a pas rendue plus brillante, lâcha Cersei. Permets-moi, Sansa, de partager avec toi un rien de science féminine, en ce jour très particulier. L’amour est un poison. Un poison certes délicieux, mais qui n’en est pas moins mortel. » ACOK - Sansa IV [3]
- Pardonne-moi... le sang... oh, s’il te plaît... Chanvrine... » Se pouvait-il qu’il y ait eu une autre femme, dans sa vie ? Quelque villageoise qu’il aurait séduite, quand il était jeune ? Se pourrait-il qu’il se soit consolé de la mort de Mère entre les bras d’une servante ? Une idée incongrue, qui la bouleversait. Elle eut tout à coup l’impression de n’avoir pas du tout connu son père. « Qui est Chanvrine, messire ? Souhaitez-vous que je l’envoie chercher, Père ? Où puis-je la trouver ? Est-elle toujours en vie ? » [...] « Il réclamait une femme, dit Cat. Une certaine Chanvrine. - Chanvrine ?» Le mestre la regarda d’un air ahuri. « Vous ne connaissez personne de ce nom ? Une servante, une villageoise des environs? Quelqu’un qu’il aurait, peut-être, rencontré voilà des années ? » Cela faisait une éternité qu’elle avait quitté Vivesaigues. « Non, madame. Je puis faire des recherches, si vous le souhaitez. Utherydes Van serait sûrement au courant, si cette personne avait jamais servi ici. Vous avez dit Chanvrine ? Les petites gens affublent souvent leurs filles de noms d’herbes ou de fleurs. » Il prit un air pensif. « Il y avait une veuve, je me rappelle, qui venait au château quérir les vieux souliers nécessitant un ressemelage. Elle s’appelait Chanvrine, maintenant que j’y songe. Ou était-ce Anémone ? Ce genre-là. Mais voilà des années qu’elle n’est venue... - Elle s’appelait Violette, dit Catelyn, qui se souvenait parfaitement de la vieille. [...] « Des enfants – mignons – et légitimes » ..., pourquoi disait-il cela ? A moins… Il aurait eu un bâtard de cette Chanvrine ? Cela lui paraissait invraisemblable. Edmure, oui ; elle n’aurait pas été du tout surprise d’apprendre que son frère avait engendré une douzaine d’enfants naturels. Mais Père, non, pas lord Hoster Tully, jamais. ASOS - Catelyn I[4].
- Ton goût des putains est une faiblesse intrinsèque, lui assena lord Tywin tout à trac, mais peut-être y ai-je ma part de reproche. A te voir pas plus haut qu’un gosse, j’ai eu un peu trop tendance à omettre que tu es un homme fait, soit sujet aux besoins les plus bas d’un homme. Il est plus que temps de te marier. » ASOS - Tyrion III[5].
Cersei cracha comme un chat furibond. « Qu’est-ce qu’elle fiche ici, elle ? - Nous l’avons trouvée là, Votre Grâce, répondit Courte-oreille. C’est la pute au Lutin. » Comme si cela suffisait pour expliquer sa présence en ces lieux. Messire mon père n’avait que faire de putains, songea-t-elle.Depuis la mort de Mère, il n’avait plus touché de femme. Elle foudroya le garde d’un regard glacial. « Ceci n’est pas... Lorsque, à la mort de son père, lord Tywin regagna Castral Roc, il découvrit une... une femme de cette engeance... parée des bijoux de dame sa mère et portant l’une de ses robes. Il la dépouilla de l’une comme des autres, ainsi que de tout le reste. Durant quinze jours, il la fit exhiber toute nue dans les rues de Port-Lannis pour qu’elle confesse à chacun des hommes qu’elle croisait ce qu’elle était : une voleuse et une catin. C’est de cette manière que lord Tywin Lannister traitait les putains. Jamais il... Cette gueuse se trouvait ici dans quelque autre but, et non... pas pour... - Peut-être que Sa Seigneurie était en train de la questionner sur sa maîtresse, suggéra Qyburn. Sansa Stark ne s’est-elle pas évaporée la nuit même où le roi fut assassiné, d’après ce que j’ai ouï dire ? - Si fait. » Cersei s’empressa d’attraper la perche qu’il venait de lui tendre. « Père était en train de la questionner, sûrement. Cela ne peut faire l’ombre d’un doute. » Elle vit en un éclair les mimiques sournoises de Tyrion, la lippe gondolée en un ricanement simiesque sous les décombres de son nez. Et quelle meilleure méthode employer pour la questionner que de la foutre à poil, les cuisses bien écartelées ? susurra le nain. C’est juste comme ça que, moi aussi, je me régale de la questionner. AFFC - Cersei I [6]
Septon Raynard adopta une voix vibrante de regrets. « Sa Sainteté Suprême a envoyé mon humble personne à sa place et prié de transmettre à Votre Grâce que les Sept l’ont dépêchée combattre la mauvaiseté. - Comment cela ? En prêchaillant la chasteté le long de la rue de la Soie ? S’imagine-t-il qu’à force de prier sur les putains, il leur rendra leur virginité ? - Nos corps ont été façonnés par nos Père et Mère d’En Haut pour nous permettre d’accoupler mâle et femelle afin de procréer des enfants légitimes, expliqua benoîtement Raynard. Il est ignoble et peccamineux aux femmes de vendre à prix d’argent l’intimité de leurs parties sacrées. » Cette attitude dévotieuse aurait été plus convaincante si la reine n’avait pas su que Septon Raynard jouissait d’amitiés on ne pouvait plus spécifiques dans chacun des bordels de la rue de la Soie. Mais sans doute avait-il fini par trouver que se faire l’écho docile des babillages du Grand Septon l’échinait moins que le récurage des sols. « Ne vous avisez pas d’aller me sermonner, dit-elle. Les tenanciers de bordels nous ont fait part de leurs doléances, et à juste titre. - Si les pécheurs parlent, qu’est-ce qui obligerait les vertueux à écouter ? - Ces pécheurs-là alimentent les caisses royales, répliqua-t-elle vertement, et leurs liards aident à payer la solde de mes manteaux d’or et à construire des galères pour défendre nos côtes. Il faut aussi prendre en considération le commerce. Si Port-Réal n’avait pas de bordels, les navires s’en détourneraient au profit de Sombreval ou de Goëville. Sa Sainteté Suprême m’a promis la paix dans mes rues. Le putanat contribue au maintien de cette paix. Privés de putains, les hommes du commun sont enclins à recourir au viol. Dorénavant, que Sa Sainteté Suprême fasse ses prières dans le septuaire, c’est là qu’est leur place. » AFFC - Cersei VIII[7]
"Proud, for a certainty. Even arrogant. A faithful friend to Rhaegar, but prickly with others. Robert was his liege, but I've heard it said that Connington chafed at serving such a lord. Even then, Robert was known to be fond of wine and whores." "No whores for Lord Jon, then?" "I could not say. Some men keep their whoring secret." "Did he have a wife? A paramour?" Ser Daemon shrugged. "Not that I have ever heard." TWOW - Arianne I[8]
- ↑ A Clash of Kings, Chapitre 40, Catelyn.
- ↑ A Clash of Kings, Chapitre 56, Catelyn.
- ↑ A Clash of Kings, Chapitre 61, Sansa.
- ↑ A Storm of Swords, Chapitre 03, Catelyn.
- ↑ A Storm of Swords, Chapitre 20, Tyrion.
- ↑ A Feast for Crows, Chapitre 04, Cersei.
- ↑ A Feast for Crows, Chapitre 37, Cersei.
- ↑ The Winds of Winter, Chapitre provisoire, Arianne 1.