Chanson de la Néra : Différence entre versions

De La Garde de Nuit
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''A se repaître d'humeur assassine et d'envie,<br>
 
''A se repaître d'humeur assassine et d'envie,<br>
 
''Remplissant à ras bord sa coupe de dépit,<br>
 
''Remplissant à ras bord sa coupe de dépit,<br>
''"Mon frère avait sous ses lois sept couronnes, dit-il à sa mégère de moitié,<br>
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''"Mon frère avait sous ses lois sept couronnes, dit-il à sa [[Selyse|mégère de moitié]],<br>
 
''Ce qui fut sien, je vais le prendre et faire mien,<br>
 
''Ce qui fut sien, je vais le prendre et faire mien,<br>
 
''Réservant à son fils la pointe de ma dague."<br>
 
''Réservant à son fils la pointe de ma dague."<br>
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''Le noir sire assembla ses légions, qui, telles des nuées<br>
 
''Le noir sire assembla ses légions, qui, telles des nuées<br>
 
''De corbeaux, lui vinrent grouiller à l'entour,<br>
 
''De corbeaux, lui vinrent grouiller à l'entour,<br>
''Et ils embarquèrent, assoiffés de sang, pour aller...<ref name="asos,c61"/><br>
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''Et ils embarquèrent, assoiffés de sang, pour aller...
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(parodie de [[Tyrion]] : ''Du pauvre Tyrion bousiller le nez''<ref name="asos,c61"/><br>
 
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Version du 19 septembre 2020 à 16:26

V.O. : the song of the Blackwater

La chanson de la Néra est le titre d'une composition personnelle du rhapsode Galyeon de Cuy qui narre en soixante-dix-sept strophes la bataille de la Néra. Elle vante, entre autres, la bravoure de la reine Cersei et de son fils, le roi Joffrey[1].

Paroles

Elle comporte notamment les vers suivants :

« Au sommet de sa tour, il broyait du noir,

Noir sire d'un château noir comme la nuit.
Noir était son poil et noire son âme
A se repaître d'humeur assassine et d'envie,
Remplissant à ras bord sa coupe de dépit,
"Mon frère avait sous ses lois sept couronnes, dit-il à sa mégère de moitié,
Ce qui fut sien, je vais le prendre et faire mien,
Réservant à son fils la pointe de ma dague."
Un jouvenceau tout bouclé d'or et brave,
[...]
Le noir sire assembla ses légions, qui, telles des nuées
De corbeaux, lui vinrent grouiller à l'entour,
Et ils embarquèrent, assoiffés de sang, pour aller... (parodie de Tyrion : Du pauvre Tyrion bousiller le nez[1]
[...] »

Notes et références