Modification de « ... Pour revivre un instant »
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George R. R. Martin terminait [[La Bataille des eaux-glauques|son travail]] avec Howard Waldrop quand il commença à écrire cette nouvelle. Parmi ses influences, George confie, qu'outre des écrivains (de science-fiction ou pas), il pourrait également citer des auteurs-compositeurs, et parmi eux Kris Kristofferson « pour ses premières œuvres, les plus poignantes ». | George R. R. Martin terminait [[La Bataille des eaux-glauques|son travail]] avec Howard Waldrop quand il commença à écrire cette nouvelle. Parmi ses influences, George confie, qu'outre des écrivains (de science-fiction ou pas), il pourrait également citer des auteurs-compositeurs, et parmi eux Kris Kristofferson « pour ses premières œuvres, les plus poignantes ». | ||
| − | ''« ... Pour revivre un instant »'' est une des nouvelles préférées de l'auteur et il remarque que certains partagent son avis quand d'autres la vouent aux gémonies. Il indique qu'on a failli en venir aux mains lorsqu'il l'a présentée à la Conférence des écrivains de Milford en 1973. George R. R. Martin pense que les fans et les détracteurs de cette nouvelle ne doivent pas comprendre les trois quarts de ce qu'il a voulu dire mais que c'est sans doute de la faute de l'auteur, pas des lecteurs. Il ajoute qu'on présente souvent cette nouvelle comme une histoire d'amour, ce qui n'est pas faux, mais pour lui elle parle surtout « du temps et de la façon dont son passage nous affecte »<ref>Préface du recueil ''[[Des astres et des ombres]]''</ref>. | + | ''« ... Pour revivre un instant »'' est une des nouvelles préférées de l'auteur et il remarque que certains partagent son avis quand d'autres la vouent aux gémonies. Il indique qu'on a failli en venir aux mains lorsqu'il l'a présentée à la Conférence des écrivains de Milford en 1973. George R. R. Martin pense que les fans et les détracteurs de cette nouvelle ne doivent pas comprendre les trois quarts de ce qu'il a voulu dire mais que c'est sans doute de la faute de l'auteur, pas des lecteurs. Il ajoute qu'on présente souvent cette nouvelle comme une histoire d'amour, ce qui n'est pas faux, mais pour lui elle parle surtout « du temps et de la façon dont son passage nous affecte » . <ref>Préface du recueil ''[[Des astres et des ombres]]''</ref>. |
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