Empire Doré de Yi Ti

De La Garde de Nuit
Révision datée du 17 novembre 2019 à 17:19 par DJcoins (discussion | contributions)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher

V.O. : Golden Empire of Yi Ti

L’empire Doré de Yi Ti est le nom de l’empire de Yi Ti situé en Outre-Orient. Il est le successeur du mythique Grand Empire de l'Aube qui, selon les légendes, disparut lors de la Longue Nuit. L’empire est dirigé par un empereur-dieu.

Histoire[modifier]

L’empire Doré a une histoire plurimillénaire, et onze dynasties se sont succédées à sa tête depuis sa fondation. Il a parfois connu la paix et la prospérité, comme sous les Neuf Eunuques, ou les empereurs Blanc perle qui donnèrent 130 ans de paix à Yi Ti. Sous Jar Har et ses fils Jar Joq et Jar Han, sixième, septième et huitième empereurs Vert mer, l’empire atteignit l’apogée de sa puissance en soumettant Leng et Grand-Moraq, en percevant le tribut de Qarth, de l’ancienne Ghis, d’Asshaï et d’autres terres lointaines, et en commerçant avec Valyria. Mais il a également connu des troubles et des guerres. À quatre reprises, la fin d’une dynastie a été suivie par une période d’anarchie et de désordre où seigneurs de la guerre et roitelets se disputaient le pouvoir suprême. Le plus long de ces interrègnes a duré plus d’un siècle[1]. Les empereurs-dieux perdirent également le contrôle de Leng il y a quatre cents ans[2].

L’empire Doré dût également se défendre contre les raids des Jogos Nhai qui ravagèrent nombre de cités yitiennes. De nombreux généraux et trois empereurs-dieux lancèrent des expéditions pour mater ces nomades, mais sans jamais obtenir de résultats définitifs. Lo Han, quarante-deuxième empereur Écarlate lança trois expéditions de ce genre sans rencontrer davantage de succès. Son fils Lo Bu, déterminé à en finir avec la menace des Jogos Nhai, assembla une armée de trois cent mille hommes et entra sur le territoire ennemi qu’il ravagea, avant de diviser son armée en treize osts pour traquer et massacrer tous les nomades. On dit qu’un million de Jogos Nhai périrent. Face au danger les nomades nommèrent un jhattar, une femme nommée Zhéa qui, en deux ans, parvint à détruire chacune des armées de Lo Bu avant de massacrer son propre ost et de le tuer[3].

L’empire Doré au début de la saga[modifier]

Bu Gai, dix-septième empereur d’Azur, est l’actuel empereur-dieu de Yi Ti, mais il ne règne véritablement que sur Yin, sa capitale. Il est contesté par deux autres empereurs autoproclamés :

En outre, l’autorité de Bu Gai est affaiblie par des princes qui règnent sur leurs royaumes à leur guise, comme font les brigands, prêtres-rois, sorciers, seigneurs de la guerre, généraux impériaux et collecteurs d’impôts en dehors de leurs domaines[1]. L’empire Doré est également en proie à une épidémie de peste grise[4].

Système politique[modifier]

Les empereurs-dieux[modifier]

Icone loupe.png Voir article détaillé : empereur-dieu.

Les autres pouvoirs[modifier]

L’empereur-dieu n’est pas le seul pouvoir à Yi Ti. Il existe de nombreux princes riches et puissants qui détiennent la réalité du pouvoir, c’est pourquoi Lomas Grandpas surnommait Yi Ti « le pays aux mille dieux et cent princes, régis par un empereur-dieu »[1].

Capitales[modifier]

Au long des siècles, la capitale de l’empire Doré a vingt fois changé, selon les luttes des chefs de guerre rivaux et l’ascension et la chute des dynasties. Yin fut la capitale des empereurs Gris, Indigo et Blanc perle. Les empereurs Écarlates construisirent Si Qo la Glorieuse au cœur de la jungle, les empereurs Pourpres préférèrent Tiqui, tandis que les empereurs Amarante tenaient leur cour-garnison à Jinqi pour mieux garder les frontières de l’empire contre les pillards des Contrées de l'Ombre. Aujourd’hui Yin est la capitale de l'empereur-dieu Bu Gai, mais Pol Qo règne depuis Ville-Foirail, et le soi-disant soixante-neuvième empereur Jaune vit à Carcosa sur la mer Cachée, au-delà des montagnes du Matin et donc des frontières de l’empire Doré à proprement dit[1].

Notes et références[modifier]