Cette bonne vieille Mélodie
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Cette bonne vieille Mélodie est une nouvelle de George R. R. Martin, sortie en version originale en 1981, traduite en français par Éric Holstein et parue en 2014 dans le recueil La Fleur de verre et en 2017 dans le recueil R.R.Étrospective. La nouvelle a été nominée pour le prix Locus de la meilleure nouvelle courte 1982.
Genèse de l’œuvre[modifier]
En 1979, George R. R. Martin se rendit à Austin chez Lisa Tuttle. En effet, ils avaient le projet d'écrire La Chute (le dernier volet de leur roman commun Elle qui chevauche les tempêtes). N'ayant qu'une machine à écrire pour deux, ils se relayaient, ce qui a donné l'occasion à George Martin de lire ses écrits les plus récents. Et c'est comme cela qu'il écrivit sa première nouvelle de fantastique contemporain, en s'inspirant du style de ce qu'il lisait. L'agent de Martin tenta en vain de placer ce récit auprès de lucratives revues de luxe pour hommes et finalement, c'est The Twilight Zone Magazine qui l'a publié[1].
Synopsis[modifier]
À Chicago, Ted, avocat voit débarquer Mélodie une ancienne copine du temps de ses études, connue pour avoir toujours des ennuis et pour être très collante. Surprise (ou pas), elle a besoin d'aide et fait le tour de ses anciens colocataires. Après tout, ils ont bien signé un pacte d'entraide à la fin de leurs études !
Adaptation[modifier]
Cette bonne vieille Mélodie fut adaptée deux fois à l'écran : sous la forme d'un petit film d'études et pour un épisode de l'anthologie télévisuelle Le Voyageur (diffusé sous le titre Un si beau souvenir en France) sur HBO[1].
Notes et références[modifier]
Notes[modifier]
Références[modifier]
- ↑ 1,0 et 1,1 R.R.Étrospective : Hybrides et horreurs.