A Game of Thrones, Chapitre 18, Bran
Cet article concerne le dix-huitième chapitre du premier livre, A Game of Thrones et dont le personnage Point de Vue est Bran Stark.
Sommaire
Chapitres et pagination
Chapitres
- Ce Chapitre est le troisième consacré à Bran dans le premier livre.
- Ce Chapitre est le troisième consacré à Bran sur l'ensemble de la saga.
Pagination
- Aux éditions Bantam (hardcover)[N 1] : p. 134 à 138
- Aux éditions Bantam (trade paperback) : p.
- Aux éditions Bantam (mass market paperback)[N 2] : p. 160 à 164
- Aux éditions Voyager (hardcover) : p.
- Aux éditions Voyager (paperback) : p.
- Aux éditions Pygmalion (intégrale) : p. 211 à 216
- Aux éditions J'ai Lu (intégrale)[N 3] : p. 161 à 165
- Aux éditions Pygmalion (grand format)[N 4] : Tome 1, Le trône de fer, p. 161 à 165
- Aux éditions J'ai Lu (poche), [N 4] : Tome 1, Le trône de fer, p. 197 à 202
Résumé
Bran chute dans un univers de brume grise où le sol se rapproche de plus en plus. Une voix lui chuchote continuellement de voler. Mais il ne peut pas voler, il n’a pas d’ailes ! La voix appartient à une corneille qui se pose sur sa main. Elle lui explique que pleurer ne sert à rien, qu’il faut voler, que s'il ne vole pas, c’est la mort qui l’attend en touchant le sol, et le sol se rapproche inexorablement. La corneille force le petit Stark à regarder le sol, le monde, et là, Bran voit les montagnes, Winterfell, avec son frère qui s'entraîne avec une vraie épée, et mestre Luwin qui scrute le ciel. Dans le bois sacré, le barral, sentant son regard, lève des yeux pensifs vers lui. Puis il voit sa mère sur un bateau, et ensuite son père et ses sœurs dans le Sud. Des ombres les entourent : l'une a le mufle d’un chien, l'autre une armure d’or et la plus grande porte une armure de pierre, mais dont le heaume ouvert ne révèle que ténèbres et sang noir. Il voit aussi l’Est, jusqu'à Asshai-lès-l'Ombre, « où les dragons s'éveillèrent au soleil levant ». Et pour finir, il voit le Nord avec le Mur et Jon, mais aussi au-delà, le Grand Nord, puis derrière le rideau de lumière du bout du monde, au coeur de l'hiver. Ce qu'il y voit l'effraie, et la corneille lui dit qu'à présent il sait pourquoi il ne doit pas mourir : parce que « l'hiver vient ». Bran regarde la corneille, et voit qu'elle a trois yeux, et que celui du milieu est plein d'un terrible savoir. Le sol s’approche de plus en plus. « Mourir ou voler », lui dit encore la corneille. Enfin, il déploie ses ailes invisibles et vole. La corneille le frappe alors de son bec plusieurs fois au milieu du front. Bran crie de douleur, et voit la corneille répondre par un même cri, et se transformer en servante de Winterfell, qui se rue hors de sa chambre en hurlant « Il s'est réveillé ! ». Lorsque Robb, hors d'haleine, fait irruption dans la chambre, il trouve Bran éveillé, son loup lui léchant le visage. Bran le regarde alors et dit « Il s'appelle Été. »
Notes et références
Notes
- ↑ Pagination de la première édition Bantam hardcover de septembre 1996.
- ↑ Pagination de la réédition de août 2005. La première édition Bantam massmarket est de septembre 1997.
- ↑ Pagination de la réédition mai 2011. La première édition J'ai Lu Intégrale est de décembre 2009.
- ↑ 4,0 et 4,1 Pagination de l'édition Pygmalion grand format de mai 1998. Erreur de référence : Balise
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