Harrold Hardyng
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Harrold Hardyng, dit Harry l'Héritier, est un petit-fils d'Alys Arryn, la sœur de lord Jon Arryn, et d'Elys Vanbois. Bien que n'étant qu'un lointain cousin, Harrold est le seul et unique héritier de lord Robert Arryn ; la lignée Arryn directe étant aujourd'hui presque éteinte. Il est le pupille de lady Anya Vanbois. C'est un jeune homme charmeur, doté de cheveux soyeux d'un blond vénitien. Il a des yeux bleu sombre et ses joues s'ornent de fossettes lorsqu'il sourit[1].
Avant AFFC[modifier]
Lord Nestor Royce projette de faire épouser sa fille Myranda à Harrold mais lady Anya Vanbois refuse d'entendre parler de cette union[1].
Cette section concerne un volume de la saga qui n'est pas encore paru en français. Elle est masquée afin d'éviter les spoilers.En l'an 298, Harrold Hardyng conçoit une première bâtarde, Alys Stone, avec une femme nommée Cissy. Il se détourne ensuite d'elle, lui préférant la fille d'un riche marchand goëvillais, appelée Saffron[2].
Dans AFFC[modifier]
Lord Yohn Royce organise une mêlée pour écuyers à Roches-aux-runes dans le but d'en faire remporter les honneurs à Harrold. Ce dernier, effectivement vainqueur, est alors adoubé chevalier par lord Royce[1].
Bien que déjà père d'une bâtarde et d'un autre à venir, Harrold Hardyng est engagé, sous l'égide de lord Petyr Baelish, à Alayne Stone, qui n'est autre que Sansa Stark. Ceci afin d'avoir la mainmise sur le Nord et le Val d'Arryn[1].
Dans TWOW[modifier]
Cette section concerne un volume de la saga qui n'est pas encore paru en français. Elle est masquée afin d'éviter les spoilers.Ser Harrold Hardyng se rend aux Portes de la Lune pour participer au tournoi qui désignera les futurs Chevaliers Ailés. Il y rencontre sa promise, Alayne Stone, avec laquelle il se montre tout d'abord discourtois. Le soir venu, durant le festin, il lui demande une danse comme tous les chevaliers de l'assistance. Elle profite de cette occasion pour le séduire, se renseigner sur lui et piquer sa jalousie[2].
