Sortilège d'illusion : Différence entre versions
(Très bonne idée d'article, bons arguments, mais rédaction à revoir. Pas le temps de tout faire pour le moment, j'essaie de finir ce soir.) |
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* [[Davos Mervault]] le remarque lorsque le roi pose l'épée sur son épaule<ref name="asos,c37">[[A Storm of Swords, Chapitre 37, Davos]].</ref> ; | * [[Davos Mervault]] le remarque lorsque le roi pose l'épée sur son épaule<ref name="asos,c37">[[A Storm of Swords, Chapitre 37, Davos]].</ref> ; | ||
| − | * [[Samwell Tarly]] note que l'épée se range dans un fourreau de bois, qui devrait donc brûler si l'épée était chaude<ref name="asos,c79">[[A Storm of Swords, Chapitre 79, Samwell]].</ref>. | + | * [[Samwell Tarly]] note que l'épée se range dans un fourreau de bois, qui devrait donc brûler si l'épée était chaude<ref name="asos,c79">[[A Storm of Swords, Chapitre 79, Samwell]].</ref>. |
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Version du 20 juillet 2018 à 08:47
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V.O. : Glamor
Le sortilège d'illusion est un subterfuge qui altère la perception visuelle. Il permet notamment de donner à une personne l'apparence d'une autre[1].
Sommaire
Description
L’essence de celui qui la revêt ne change pas, uniquement son apparence: les gens voient ce qu’ils s’attendent à voir. Le charme comporte quatre éléments connus:
- des mots chuchotés et une incantation (par un magicien);
- un sujet qui sera camouflé par une nouvelle apparence;
- une pierre précieuse spécifique, qui dégagera de la chaleur et qui relie le magicien au sujet;
- un objet commémoratif de la personne qui doit être aperçue (vêtement, bijou, objet-souvenir). Bien qu'il ne soit pas obligatoire, il en soutient l'efficacité[1].
Les pierres interagissent: à la proximité du sujet et du magicien; la chaleur subie par l'un deux se transmet à l'autre (tant qu'ils sont vivants). La pierre du sujet scintille lorsqu'elle est en fonction et s'éteint hors fonction. Un seul mot suffit à faire cesser le sortilège, bien que les personnes en présence entendent autre chose[1]. Ce charme ne résiste pas à la perspicacité d'un homme sage, ni à un examen poussé (de près) par un homme du commun. Mélisandre d'Asshaï, les Conjurateurs de Qarth et les Sans-Visage le pratiquent[2].
Dans la saga
Dans L'Œuf de Dragon
À plusieurs reprises, Dunk a des troubles de la vision en regardant le chevalier errant Maynard Prünh, qui porte une opale. Il le voit flou. [3]. C'est un cas possible de sortilège d'illusion.
Dans ASOS
Certaines personnes conçoivent des doutes à propos de l'épée magique de Stannis Baratheon, que Mélisandre d'Asshaï prétend être Illumination. Cette épée, ornée d'un gros rubis carré au pommeau, scintille d'une lumière aveuglante. Pourtant, mestre Aemon Targaryen remarque que l'épée ne produit aucune chaleur, alors qu'Illumination est censée être brûlante d'après le Compendium de Jade[4]. D'autres personnages ont l'occasion de remarquer que l'épée est froide :
- Davos Mervault le remarque lorsque le roi pose l'épée sur son épaule[5] ;
- Samwell Tarly note que l'épée se range dans un fourreau de bois, qui devrait donc brûler si l'épée était chaude[4].
Dans ADWD
Le Lord Commandant de la Garde de Nuit Jon Snow remarque qu'un parchemin est posé sur l'épée magique, que Stannis Baratheon prétend être Illumination. Pourtant, il ne brûle pas[6].
Au Mur, Mélisandre d'Asshaï opère un double sortilège d'illusion : elle intervertit les apparences de Mance Rayder et de Clinquefrac. Sous l'apparence de « Mance Rayder », c'est Clinquefrac qui est brûlé lors de la cérémonie qui marque le passage des Sauvageons au sud du Mur. Plus tard, elle révèle devant Jon Snow l'identité réelle de « Clinquefrac », qui porte un rubis au poignet, ainsi que des objets appartenant à Clinquefrac[1].
Voir aussi
 Lumières sur Illumination, article de blog écrit par Lord Riusma. De l’identité de Maynard Prünh, article de blog écrit par Werther.
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