Axell Florent

De La Garde de Nuit
Révision datée du 21 janvier 2018 à 16:55 par Nymphadora (discussion | contributions) (upload_bot_webarchive)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher
Axell Florent
None.gif

Identité
V.O. Axell Florent
Apparence
Taille petit
Poids corpulent
Statut
Rang chevalier
Titres gouverneur de Peyredragon
Main de la reine
Blasons
Ser Axell fait partie de la maison Florent Ser Axell est au service de Stannis Baratheon

Ser Axell Florent est le frère cadet de lord Alester Florent. D'aspect quelconque[1], il est petit et très corpulent, avec des bras épais et des jambes arquées[2]. Ses oreilles très poilues (comme ses narines)[3] sont encore plus développées que celles de sa nièce, lady Selyse Florent. Il adore les ragots et fait preuve d'une grande flagornerie[4]. Depuis près de dix ans, ser Axell assure la fonction de gouverneur de Peyredragon lorsque lord Stannis Baratheon siège au Conseil restreint de son frère à Port-Réal[4][5].

Dans ACOK

Ser Axell, qui s'est converti au culte du Seigneur de la Lumière après l'arrivée de Mélisandre d'Asshaï à Peyredragon, est très proche de sa nièce, la reine Selyse, et cherche à gagner les faveurs du roi Stannis Baratheon. Il est considéré comme le premier des hommes de la reine[6]. Il assiste en dévot au bûcher des statues des dieux du septuaire de Peyredragon et prétend à ser Davos Mervault (qu'il traite avec courtoisie, à la différence des autres bannerets, mais certainement en raison de ses relations privilégiées avec le roi[2]) avoir vu dans les flammes de jeunes et belles danseuses qui entouraient un grand roi. Ser Axell y voit l'annonce de la victoire prochaine du roi Stannis. Ser Davos, par devers lui, se fait alors la remarque que Stannis ne goûte pas ce genre de spectacle[N 1][7][4].

Dans ASOS

Ser Axell arrête ser Davos Mervault lorsque ce dernier, miraculeusement rescapé de la bataille de la Néra, se présente aux portes de Peyredragon. Le chevalier Oignon est en effet suspecté de vouloir assassiner Mélisandre[2]. Ser Axell conseille au roi de le livrer aux flammes de R’hllor, mais Mélisandre n'est pas de cet avis[5].

Après la trahison de son frère qui recherchait la paix avec les Lannister, et qu'il mène en personne dans le même cachot que ser Davos[8], ser Axell manigance pour devenir la nouvelle Main du roi Stannis Baratheon, et obtient le soutien de Sladhor Saan. Il veut convaincre le roi d'attaquer Pince-Isle pour punir lord Ardrian Celtigar de son ralliement aux Lannister après sa capture lors de la bataille de la Néra. Ser Davos, tout juste extrait des geôles de la forteresse, critique sévèrement ce plan en plaidant que les véritables ennemis de Stannis se trouvent à Port-Réal. Stannis approuve et congédie ser Axell, puis fait de Davos un seigneur et sa nouvelle Main du Roi[5]. Ser Axell suit ensuite Stannis jusqu'au Mur.

Dans ADWD

Ser Axell demeure à Fort-Levant avec sa nièce, la reine Selyse Baratheon, se faisant décerner le titre de « Main de la Reine ». Cotter Pyke se plaint de lui dans ses missives au au lord Commandant Jon Snow. Ser Axell reste auprès de la reine lorsqu'elle quitte Fort-Levant, d'abord pour Châteaunoir, puis, en principe, pour Fort Nox. À peine arrivé à Châteaunoir, il s'enquiert en termes à peine courtois auprès de lord Snow de la présence de Val, dont la réputation de beauté semble l'intéresser, mais le lord Commandant le rabroue sèchement[3]. Cela ne l'empêche pas de revenir à la charge lors du banquet des noces de lady Alys Karstark et du Magnar Sigorn, avec le même résultat[9].Il est présent lorsque la reine reçoit lord Jon Snow en audience, et qu'elle refuse alors de l'aider à secourir les sauvageons réfugiés à Durlieu. La reine annonce à cette occasion que ser Axell va épouser l'aînée des filles de Gerrick Sangderoi[10].

Notes et références

Notes

  1. Bien plus tard, ser Davos interroge Mélisandre au sujet des prétendus visions de ser Axell et cette dernière lui répond alors que « n'importe quel chat peut fixer un feu et voir s'y ébattre des souris rouges » (cf. A Storm of Swords, Chapitre 64, Davos).

Références