Siège d'Astapor : Différence entre versions
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Version du 16 août 2020 à 16:52
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Le siège d'Astapor par Yunkaï et ses alliés a lieu en l'an 300, au cours de la guerre de la baie des Serfs.
Contexte
Après la bataille des Cornes d'Hazzat[1] et l'assassinat du roi Cleon le Grand[2], l'anarchie et la famine règnent à Astapor, et l'armée hétéroclite de Yunkaï, renforcée de deux légions de La Nouvelle-Ghis n'a pas de mal à en faire le siège, surtout après l'arrivée des mercenaires des Erre-au-Vent et la Compagnie du Chat, fraîchement débarqués de Volantis[3].
Déroulement
Après plusieurs semaines de siège (qui ont permis aux assiégeants de recevoir le renfort de compagnies mercenaires, dont les Erre-au-Vent), les Astaporis se décident à tenter une sortie inopinée. Le roi Cleon à leur tête, les nouveaux Immaculés sortent de la ville et donnent l'assaut aux lignes yunkaïies. Celles-ci, prises par surprise, ont le plus grand mal à se déployer. Mais les Immaculés se heurtent alors aux légions de La Nouvelle-Ghis, tandis que les cavaliers mercenaires des Erre-au-Vent et de la Compagnie du Chat les prennent de flanc. Lorsque Caggo abat Cleon, qui se révèle n'être qu'un cadavre en putréfaction placé à la tête des Immaculés pour tenter de leur donner courage, la débandade s'empare de leurs rangs et la bataille tourne au massacre, d'autant que les portes de la ville se ferment devant les fuyards[3].
Conséquences
Après l'assaut, les troupes pénètrent dans la ville, où ne restent plus que des affamés mourants et des cadavres ; le roi Coupe-Gorge est livré aux chiens dans une arène. La cité est livrée aux flammes, et ses portes sont condamnées de l'extérieur pour y confiner les derniers survivants. Les troupes yunkaïies prennent ensuite la route de Meereen, chassant devant elles les fuyards, dont beaucoup sont atteints de la caquesangue[3].
Notes et références
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