Pour une poignée de volutoines : Différence entre versions
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'''''Pour une poignée de volutoines''''' est une nouvelle de [[George R. R. Martin]], sortie en version originale en 1973 dans le magazine américain ''Analog Science Fiction''. | '''''Pour une poignée de volutoines''''' est une nouvelle de [[George R. R. Martin]], sortie en version originale en 1973 dans le magazine américain ''Analog Science Fiction''. | ||
− | Avec deux autres nouvelles ('' | + | Avec deux autres nouvelles (''[[Nobody Leaves New Pittsburg]]''<ref Group=N>Nouvelle inédite en version française.</ref> et ''[[Retour aux sources]]''), ''Pour une poignée de volutoines'' fait partie d'une petite série ayant pour sujet les manipulateurs de cadavres<ref>''[[R.R.Étrospective]]'' : Un peu de Tuf.</ref><ref Group=N>GRRM avait un brouillon de quatre pages pour écrire une quatrième nouvelle sur les manipulateurs de cadavres, et des idées pour une douzaine d'autres nouvelles sur le même sujet, mais il ne les écrivit jamais (cf. ''[[R.R.Étrospective]]'' : Un peu de Tuf).</ref>. |
La nouvelle est parue en France en 1982 dans le recueil ''[[Une Chanson pour Lya et autres nouvelles]]'' et en 2018 dans le recueil ''[[Nightflyers et autres récits]]''. | La nouvelle est parue en France en 1982 dans le recueil ''[[Une Chanson pour Lya et autres nouvelles]]'' et en 2018 dans le recueil ''[[Nightflyers et autres récits]]''. |
Version du 19 février 2019 à 11:13
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Pour une poignée de volutoines est une nouvelle de George R. R. Martin, sortie en version originale en 1973 dans le magazine américain Analog Science Fiction.
Avec deux autres nouvelles (Nobody Leaves New Pittsburg[N 1] et Retour aux sources), Pour une poignée de volutoines fait partie d'une petite série ayant pour sujet les manipulateurs de cadavres[1][N 2].
La nouvelle est parue en France en 1982 dans le recueil Une Chanson pour Lya et autres nouvelles et en 2018 dans le recueil Nightflyers et autres récits.
Notes et références
Notes
- ↑ Nouvelle inédite en version française.
- ↑ GRRM avait un brouillon de quatre pages pour écrire une quatrième nouvelle sur les manipulateurs de cadavres, et des idées pour une douzaine d'autres nouvelles sur le même sujet, mais il ne les écrivit jamais (cf. R.R.Étrospective : Un peu de Tuf).
Références
- ↑ R.R.Étrospective : Un peu de Tuf.
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