Âprevères : Différence entre versions
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| − | Cette nouvelle a été publiée en couverture du quatrième - et dernier - numéro de ''Cosmos'' en 1977. Pour George R. R. Martin, l'ambiance glaciale peut être liée à son déménagement à Dubuque, Iowa, là où les hivers sont encore plus rigoureux qu'à Chicago. L'auteur avait déménagé en 1976 dans cette ville pour enseigner comme professeur de journalisme dans une petite faculté catholique de filles. A cette époque, ses travaux littéraires ne lui rapportaient pas encore assez d'argent pour en vivre, de plus il s'était marié en 1975 et finançait les études de son épouse. | + | Cette nouvelle a été publiée en couverture du quatrième - et dernier - numéro de ''Cosmos'' en 1977. Pour George R. R. Martin, l'ambiance glaciale peut être liée à son déménagement à Dubuque, Iowa, là où les hivers sont encore plus rigoureux qu'à Chicago. L'auteur avait déménagé en 1976 dans cette ville pour enseigner comme professeur de journalisme dans une petite faculté catholique de filles. A cette époque, ses travaux littéraires ne lui rapportaient pas encore assez d'argent pour en vivre, de plus il s'était marié en 1975 et finançait les études de son épouse. |
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| + | ''Âprevères'' fait partie des histoires inspirées par des chansons, mais l'auteur ne mentionne pas laquelle. <ref name="retrospectiveetoiles">''[[R.R.Étrospective]]'' : La clarté des étoiles lointaines.</ref> | ||
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Version du 4 août 2019 à 17:51
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Âprevères est une nouvelle écrite par George R. R. Martin et parue pour la première fois en novembre 1977 dans le magazine américain Cosmos.
Âprevères se déroule dans l'univers des 1000 Mondes, l'univers de science-fiction créé par George R. R. Martin[1][2].
En France, elle fait partie du recueil Les Rois des sables, et est également présente dans l'ouvrage R.R.Étrospective.
Genèse de l’œuvre
Cette nouvelle a été publiée en couverture du quatrième - et dernier - numéro de Cosmos en 1977. Pour George R. R. Martin, l'ambiance glaciale peut être liée à son déménagement à Dubuque, Iowa, là où les hivers sont encore plus rigoureux qu'à Chicago. L'auteur avait déménagé en 1976 dans cette ville pour enseigner comme professeur de journalisme dans une petite faculté catholique de filles. A cette époque, ses travaux littéraires ne lui rapportaient pas encore assez d'argent pour en vivre, de plus il s'était marié en 1975 et finançait les études de son épouse.
Âprevères fait partie des histoires inspirées par des chansons, mais l'auteur ne mentionne pas laquelle. [2]
Synopsis
Sur un monde lointain où les hivers durent plusieurs années, Shawn est en fuite dans une forêt enneigée avant d'être attaquée par des bêtes sauvages. Elle est recueillie à bord d’un mystérieux bâtiment métallique par Morgane. Mais cette dernière est-elle réellement la fée qu’elle prétend être ?
Autour de l’œuvre
Il existe de nombreux lieux (Avalon, Jamison, Haut-Kavalaan, Braque, Rhiannon, Tara, Vieux-Poséidon, Bastion, Chul Damien, Ymir) et personnes (Lilith, Célia Marcyan, Erika Stormjones, Lamiya-Bailis, Deirdre d'Allerane, Kléronomas, Stephen Cobalt Northstar, Tomo et Walberg) liés à l'univers des 1000 Mondes qui sont évoqués dans cette nouvelle.
Notes et références
- ↑ Three Tales, Three Women, One Film (en), billet du 3 février 2015 sur le site de l'auteur.
- ↑ 2,0 et 2,1 R.R.Étrospective : La clarté des étoiles lointaines.
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