Un luth constellé de mélancolie : Différence entre versions

De La Garde de Nuit
Aller à : navigation, rechercher
(clins d'oeil)
m (Autour de l’œuvre : Reformulation)
Ligne 44 : Ligne 44 :
  
 
== Autour de l’œuvre ==
 
== Autour de l’œuvre ==
Sont mentionnés dans l’œuvre, un culte des Sept (sans plus de précision par rapport à la [[Foi]]) ainsi que [[Bakkalon]], l'Enfant pâle. Il est aussi dit que Naa-Slas se repaît de douleurs et Saagael (que l'on retrouve aussi dans la nouvelle ''[[Y a que les gosses qui ont peur du noir]]'') de l'âme.
+
Sont mentionnés dans l’œuvre un culte des Sept (sans autre allusion à la [[Foi]]) ainsi que [[Bakkalon]], l'Enfant pâle. Il est aussi dit que Naa-Slas se repaît de douleurs et Saagael (que l'on retrouve aussi dans la nouvelle ''[[Y a que les gosses qui ont peur du noir]]'') de l'âme.
  
 
== Notes et références ==
 
== Notes et références ==

Version du 27 novembre 2018 à 10:33

Un luth constellé de mélancolie
Informations
V.O. The Lonely Songs of Laren Dorr
Type Nouvelle
Genre Fantastique
Traduit par Monique Cartanas, M.-C. Luong et Sébastien Guillot
Éditions
Miniusa.png Fantastic - 1976
Minifrance.png Des astres et des ombres - 1983
Minifrance.png R.R.Étrospective 2017 -

Un luth constellé de mélancolie est une nouvelle de George R. R. Martin, écrite en mai 1974, sortie en version originale en 1976 dans le magazine américain Fantastic. Elle est parue en français en 1983 (traduite par Monique Cartanas, M.-C. Luong et Sébastien Guillot) dans le recueil Des astres et des ombres puis dans le recueil R.R.Étrospective chez Pygmalion en 2017.

Genèse de l’œuvre

À cause d'ennuis personnels en 1973 et 1974, George R. R. Martin avait essayé d'écrire le récit le plus romantique possible pour se remonter le moral[1].

Synopsis

Sharra voyage entre les mondes et se retrouve sur celui de Laren Dorr, le ménestrel solitaire.

Autour de l’œuvre

Sont mentionnés dans l’œuvre un culte des Sept (sans autre allusion à la Foi) ainsi que Bakkalon, l'Enfant pâle. Il est aussi dit que Naa-Slas se repaît de douleurs et Saagael (que l'on retrouve aussi dans la nouvelle Y a que les gosses qui ont peur du noir) de l'âme.

Notes et références

  1. Préface du recueil Des astres et des ombres