Un luth constellé de mélancolie : Différence entre versions
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Version du 8 juillet 2020 à 19:34
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Un luth constellé de mélancolie est une nouvelle de George R. R. Martin, écrite en mai 1974, sortie en version originale en 1976 dans le magazine américain Fantastic. Elle est parue en français en 1983 (traduite par Monique Cartanas, M.-C. Luong et Sébastien Guillot) dans le recueil Des astres et des ombres puis dans le recueil R.R.Étrospective chez Pygmalion en 2017.
Genèse de l’œuvre
À cause d'ennuis personnels en 1973 et 1974, George R. R. Martin avait essayé d'écrire le récit le plus romantique possible pour se remonter le moral[1].
Un luth constellé de mélancolie est la première nouvelle fantasy écrite par George R. R. Martin en tant que professionnel. Il existe des noms et motifs qui étaient déjà présents dans Y a que les gosses qui ont peur du noir ou dans des récits postérieurs. Il était prévu que Sharra fasse partie de la mythologie du Docteur Weird en étant présente dans plusieurs histoires mais cela ne s'est pas fait.[2]
Synopsis
Sharra voyage entre les mondes et se retrouve sur celui de Laren Dorr, le ménestrel solitaire.
Autour de l’œuvre
Sont mentionnés dans l’œuvre un culte des Sept (sans autre allusion à la Foi) ainsi que Bakkalon, l'Enfant pâle. Il est aussi dit que Naa-Slas se repaît de douleurs et Saagaël (nom d'une divinité lysienne dans la saga, et que l'on retrouve aussi dans la nouvelle Y a que les gosses qui ont peur du noir) de l'âme.
Notes et références
- ↑ Préface du recueil Des astres et des ombres
- ↑ R.R.Étrospective : Les héritiers du château des tortues.
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