Auberge de l'Homme à genoux
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L'auberge de l'Homme à genoux se dresse sur la rive sud de la Ruffurque - à peu près à mi-distance de Vivesaigues et de Herpivoie, à environ six milles du chatelet de ser Warren - à un endroit où le Trident décrit une large boucle en direction du nord. Elle se situe prétendument sur le lieu même où Torrhen Stark, le dernier roi du Nord, opéra sa reddition devant Aegon Ier Targaryen. L'auberge - au toit couvert d'ardoises - se tient sur la berge et est constituée d'un bâtiment de pierres grises au rez-de-chaussée et de bois chaulé à l'étage. On y trouve : des écuries et des dépendances flanquant le bâtiment principal, une forge, une treille, un potager, des pommiers et un ponton de bois sur lequel se dresse un poteau de fer auquel se balance une enseigne à l'effigie d'un roi agenouillé en une posture d'hommage. Au-dessus de la porte, se trouve également une enseigne représentant la même scène. L'aubergiste y brasse une bière de bonne réputation[1][2]
L'auberge de l'Homme à genoux dans la saga[modifier]
Dans ASOS[modifier]
L'auberge est tenue par Sherna, son mari (qu'elle appelle « l'homme »), ainsi qu'un jeune garçon (qu'elle appelle « l'gars »). Ce sont des amis de la fraternité sans bannières qui ont repris l'auberge récemment après le décès des précédents propriétaires.
Brienne, ser Jaime Lannister et ser Cleos Frey y achètent des chevaux lors de leur fuite en bateau de Vivesaigues. L'aubergiste tente de leur tendre un piège en les poussant à emprunter un chemin gardé par Lim, Tom des Sept-Rus et Anguy mais Brienne - alertée par son insistance - préfère emprunter une autre route[1].
Plus tard, Arya, Gendry et Tourte-chaude y sont emmenés par Tom, Lim et Anguy. C'est là qu'Arya rencontre Harwin, devenu membre de la Fraternité, dont elle se fait reconnaître[2]. Gendry et Arya acceptent ensuite de quitter l'auberge avec les hommes de la Fraternité, vers ce qu'ils pensent être Vivesaigues. Tourte-Chaude, pour sa part, préfère accepter la proposition de Sherna: rester à l'auberge pour redevenir boulanger[3].
