Melessa Florent

De La Garde de Nuit
Révision datée du 10 avril 2024 à 12:09 par Lapin rouge (discussion | contributions) (Notes et références : interliens de nl)
Aller à : navigation, rechercher
Melessa Florent
Identité
V.O. Melessa Florent
Statut
Rang noble
Famille
Père Alester Florent
Mère Melara Crane
Époux Randyll Tarly
Enfants Samwell Tarly (283)
Talla Tarly
deux autres filles
Dickon Tarly
Blasons
Lady Melessa fait partie de la maison Florent Lady Melessa fait partie de la maison Tarly

Melessa Florent est une femme de la maison Florent, deuxième fille de lord Alester Florent et de lady Melara Crane. Elle est l'épouse de lord Randyll Tarly à qui elle a donné deux fils, Samwell et Dickon Tarly[1], ainsi que trois filles, dont Talla[2].

Avant AGOT

Melessa est proche de son fils Samwell, qu'elle appelle affectueusement Sam[3], alors que lord Randyll se plaint régulièrement auprès d'elle de la couardise de leur aîné[2]. Un soir, Melessa et Samwell chantent La chanson des Sept pour endormir Dickon. Lord Randyll Tarly intervient furieux, accusant sa femme de lui avoir gâché un fils avec des chansons de septons douceâtres, et lui interdisant de lui en gâcher un autre encore au berceau[4].

En l'an 293, lord Randyll et Samwell se rendent auprès de lord Paxter Redwyne à La Treille. À leur retour, Melessa explique à son fils que lord Randyll prévoyait de le laisser auprès des Redwyne pour qu'il devienne le page et l'échanson de lord Paxter. En échange, les Tarly auraient pris Horas Redwyne comme pupille. Toutefois, Sam s'avérant trop peureux, lord Paxter n'a pas donné suite à ces projets[5].

Dans ASOS

Une fois revenu au Mur, Samwell propose que Vère et son fils soient envoyés à Corcolline, auprès de sa famille. Il affirme que sa mère et son père accueilleront favorablement la sauvageonne et l'enfant, surtout s'il prétend qu'il est son bâtard[6].

Dans AFFC

Samwell est finalement envoyé à Villevieille avec Vère, son fils, Dareon et mestre Aemon[7]. Sur le chemin, il pense à sa mère qu'il espère revoir pour lui montrer l'homme qu'il est devenu[5].

Notes et références