Lord Cendregué

De La Garde de Nuit
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Androw Cendregué
Identité
V.O. Androw Ashford
Statut
Rang lord
Titres seigneur de la maison Cendregué
sire de Cendregué
Famille
Enfants Androw Cendregué
Robert Cendregué
une fille
Blasons
Lord Cendregué dirigeait la maison Cendregué

Lord Cendregué[N 1] était le seigneur de la maison Cendregué et sire de Cendregué, à l'époque de Daeron II Targaryen. C'était un gros homme chauve, au visage rond et rouge[1].

Dans Le Chevalier Errant

En l'an 209, lord Cendregué organise un tournoi à Cendregué. Le prestige de l'événement est renforcé par la présence de plusieurs membres de la famille royale : le prince héritier Baelor Targaryen, son fils Valarr, son frère Maekar et trois des fils de celui-ci. La fille de lord Cendregué est la reine d'amour et de beauté du tournoi et ses fils sont deux des champions initiaux du tournoi. Le prince Valarr et le seigneur suzerain de lord Cendregué, lord Leo Tyrell, sont deux des autres champions initiaux.

Icone loupe.png Voir article détaillé : Tournoi de Cendregué.

Lord Cendregué et ses enfants accueillent en personne les membres de la famille royale dès qu'ils arrivent, et leur laisse ses appartements. La veille du tournoi, une réunion extraordinaire est convoquée par le prince Maekar, qui s'inquiète de ne pas voir arriver à Cendregué deux de ses fils, Daeron et le jeune Aegon. Le prince Baelor et la maisonnée de lord Cendregué sont réunis dans la grande salle. Ils sont interrompus par un individu, appelé Duncan le Grand, qui prétend être chevalier errant sans avoir les moyens de prouver qu'il a bien été adoubé. Lord Cendregué, qui a entendu parler de son cas grâce à son intendant Plummer, sous-entend qu'il pourrait n'être rien de plus qu'un brigand. Le prince Baelor Targaryen intervient pour demander des précisions à ser Duncan le Grand sur son maître, ser Arlan de l'Arbre-sous. Grâce à lui, ser Duncan est finalement autorisé à participer au tournoi.

Au cours du tournoi le lendemain, lord Cendregué, sa fille et le prince Baelor sont assis sur des fauteuils à la place d'honneur, alors que le prince de Lestival, Maekar, est partie à la recherche de ses fils disparus en pleine campagne. Bien que ses deux fils soient démontés dès le premier tour par ser Tybolt Lannister et ser Lyonel Baratheon, lord Cendregué est satisfait : ils sont restés vaillants, face à deux des meilleurs chevaliers des Sept Couronnes. Quelques tours plus tard, le prince Aerion Targaryen blesse mortellement le cheval de ser Humphrey Hardyng. Ce geste le déshonore et met fin prématurément au premier jour du tournoi. Lord Cendregué disqualifie Aerion et accorde son cheval à ser Humphrey Hardyng[N 2]. Il envisage un temps de désigner un autre compétiteur, ser Parsifal Caron comme champion, mais le prince Baelor le dissuade et le tournoi doit donc se poursuivre avec seulement quatre champions[1].

Le soir venu, nue rixe éclate entre ser Duncan le Grand et Aerion Targaryen. Les gardes de lord Sorbier enferme le chevalier errant. On découvre alors que son écuyer, l'Œuf est en fait le prince Aegon, un des fils du prince Maekar, qui était porté disparu. Le frère d'Aegon, Daeron, accuse le chevalier d'avoir enlevé son cadet pendant qu'ils séjournaient dans une auberge. Lord Sorbier doit co-présider le procès qui suit, puisque les crimes dont on accuse ser Duncan se sont produits sur ses terres. Il consent à la demande du prince Aerion, qui réclame un jugement des Sept pour régler l'affaire.

Le jour venu, ser Duncan n'ayant que six champions à opposer à ses accusateurs, lord Cendregué l'avertit qu'il doit impérativement en trouver un septième ou d'être déclaré coupable par défaut. Il lui accorde quelques instants pour haranguer la foule. Finalement, le prince Baelor se présente pour défendre ser Duncan.

Icone loupe.png Voir article détaillé : jugement des Sept de Cendregué.

A l'issu d'un sanglant affrontement, ser Duncan oblige le prince Aerion à retirer son accusation publiquement devant la tribune d'honneur[1].

Notes et Références

Notes

  1. Connu comme Lord Sorbier dans Le Chevalier Errant, traduit par Paul Benita et non par Jean Sola. Cela est corrigé dans la traduction plus récente et harmonisée du recueil Chroniques du chevalier errant.
  2. Raymun Fossovoie pense que l'idée ne vient pas de lord Sorbier, mais du prince Baelor (cf. Le Chevalier Errant).

Références