Yurkhaz zo Yunzak

De La Garde de Nuit
Aller à : navigation, rechercher
Yurkhaz zo Yunzak
Identité
V.O. Yurkhaz zo Yunzak
Statut
Rang noble
Titres Judicieux de Yunkaï
commandant suprême des armées de Yunkaï (ADWD)
Décès 300 (Meereen)
Blasons
Yurkhaz est un dirigeant de Yunkaï

Yurkhaz zo Yunzak est l'un des Judicieux de Yunkaï, ancien héros de sa cité. Il est très âgé, ridé, édenté, et son dos est cassé[1]. Il voyage sur un énorme palanquin nécessitant quarante esclaves pour le transporter[2]. Il possède de nombreux esclaves, notamment une troupe de chanteurs castrats[1]. Outre son statut de héros et de commandant éprouvé, Yurkhaz passe pour avoir lu les anciennes chroniques du Pays de Ghis[3].

Dans ADWD

Yurkhaz zo Yunzak est le commandant suprême des armées de Yunkaï qui marchent contre Astapor puis Meereen. Après la victoire sous les murs d'Astapor grâce aux compagnies mercenaires, il donne l'ordre à la Compagnie du Chat et aux Erre-au-Vent de chasser les survivants affamés et malades et de les diriger vers Meereen[2]. Il mène ensuite les troupes yunkaïies lors du siège de Meereen[4].

Conscient que la volonté de paix de la reine Daenerys Targaryen est bien réelle[3], et grâce à l'intervention d'Hizdahr zo Loraq[5], Yurkhaz zo Yunzak en fait accepter les termes à ses compatriotes[3]. Un soir, invité d'honneur à un festin donné sous sa tente par Yezzan zo Qaggaz, il y assiste au spectacle comique donné par Yollo et Sol. Hilare, il demande à son hôte que les nains se produisent lors d'un folie dans l'arène de Daznak, à l'occasion des festivités prévues pour célébrer la paix sur le point d'être conclue[4]. En effet, il dirige la délégation des sept commandants yunkaïis envoyés à Meereen pour signer le traité de paix : Paezhar zo Myraq, Morghaz zo Zherzyn, le Prince en Guenilles, Gylo Rhegan, Barbesang et Brun Ben Prünh. Assistant alors à la réouverture de l'arène de Daznak, il y trouve la mort, piétiné par ses propres esclaves, lors du mouvement de panique qui suit l'arrivée de Drogon dans l'arène. Sa mort met à mal les volontés pacifiques du côté de Yunkaï[3], et entraîne celle de l'amiral Groleo, qui faisait partie des sept otages envoyés comme sauf-conduits par Meereen, exécuté en représailles par les assiégeants[6]. Les nobles commandants yunkaïis tentent de désigner un nouveau commandant suprême, Yezzan zo Qaggaz ayant le plus de soutiens[7].

Notes et références